de ce rapport soulignait que la prise en compte de la douleur était encore aléatoire.
Il y était précisé que « si la médecine offre aujourd'hui des possibilités très sophistiquées de traitements contre la douleur, leur maniement concret laisse à désirer.
Il y a peu de cours pratiques au profit d'abondants cours théoriques de pharmacologie sur les effets secondaires.
En ce domaine comme dans beaucoup d'autres, les infirmières elles-mêmes sont de moins en moins aidées par des cadres de proximité responsables de la qualité et de la sécurité des soins qui préfèrent ou qui sont sommés d'accomplir des tâches administratives dénuées de toute attention réelle, directe à la personne malade.
La loi ou la réglementation hospitalière aggravent la situation en empêchant des soignants infirmiers de prescrire de leur propre chef des médications antalgiques, en urgence, la nuit par exemple, sans une prescription médicale écrite, datée et signée, le plus souvent...
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