Les amendements de François Asensi pour ce dossier

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Monsieur le Premier ministre, en 1947, sur les décombres des colonialismes européens et de la barbarie nazie, les Nations unies optaient pour la coexistence de deux États au Proche-Orient. L’un, Israël, a immédiatement vu le jour. L’autre, la Palestine, n’en peut plus d’attendre sa reconnaissance. Après soixante-dix ans de négation du droit du ...

C’est la garantie la plus sûre de la sécurité d’Israël, à laquelle nous sommes tous attachés.

Deux ans après le vote du Parlement et avant la fin du quinquennat, je vous demande de reconnaître l’État palestinien !

Ma question s’adresse à M. le ministre des affaires étrangères. À la veille de sa réélection, Benyamin Netanyahou a fait une terrible promesse : lui Premier ministre, jamais l’État palestinien ne verra le jour. Puis il s’est engagé à renforcer la colonisation de Jérusalem-Est, pour que jamais elle ne puisse devenir capitale du futur État pales...

Monsieur le ministre des affaires étrangères, le président Obama a renoncé à résoudre le conflit israélo-palestinien. Le message est consternant : c'est un encouragement aux adversaires irréductibles de la création d'un État palestinien. Qu'il est loin le discours du Caire en faveur d'un New Deal géopolitique entre les États-Unis et le monde a...

Ma question s'adresse à M. le ministre des affaires étrangères. La voix de la France au Proche-Orient est attendue. Il est temps, il est grand temps que la France reconnaisse enfin l'État palestinien. Ce jeudi, elle doit dire oui à son entrée à l'ONU ! Il y a soixante ans, le plan de partage prévoyait la création de deux États. Soixante ans p...

Reconnaître l'État palestinien est un signe fort pour que cessent les colonisations en Cisjordanie et pour redonner crédit aux dirigeants palestiniens. J'ajoute que, face aux provocations des groupes extrémistes et des États belliqueux, la création de cet État représente la meilleure garantie pour la sécurité d'Israël, à laquelle nous sommes at...