Les amendements de Thierry Mariani pour ce dossier
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Depuis que vous êtes arrivés aux affaires, il y a 600 000 chômeurs de plus et des Français ont noté que, dans sa dernière conférence de presse, le Président de la République avait parlé de terrorisme et d’international mais qu’il n’avait rien dit sur les mesures économiques, rien sur les mesures destinées à enrayer le chômage. C’est la premièr...
…le chômage en France continue à battre des records. L’inversion de la courbe du chômage n’est pas impossible, mais votre gouvernement n’en est simplement pas capable depuis deux ans. Votre ministre du travail n’a cessé de mettre en avant jusqu’à présent la création des contrats de génération et des contrats d’avenir mais, en dépit des sommes ...
Vous voulez lutter contre les extrêmes. C’est bien, les incantations lyriques dans cet hémicycle, mais, si vous faisiez vraiment baisser le chômage, vous contribueriez réellement à lutter contre les extrêmes.
Monsieur le Premier ministre, je veux vous rendre hommage : vous avez réussi à répondre aux deux premières questions du groupe de l’UMP sans citer une seule fois le nom de M. Jouyet !
et cela traduit votre gêne devant ce que les Français ont pu constater, à savoir un mensonge – en attendant la décision de la justice.
Pour changer de sujet (« Ah ! » sur les bancs du groupe SRC), ma question concerne l’arrêt rendu hier par la Cour de justice de l’Union européenne, qui explique que les États membres ne sont pas tenus d’octroyer des aides aux étrangers ne cherchant pas de travail, autrement dit se rendant sur leur territoire dans le seul but de bénéficier de l’...
Depuis 2012, on est passé de 208 974 bénéficiaires à plus de 282 000, soit une hausse de 35 %. On peut légitimement penser que la suppression du droit de timbre que nous avions instauré a été un signal donné à l’immigration à finalité sociale et à l’immigration irrégulière. Aujourd’hui, l’arrêt de la Cour de justice nous prouve que les États m...
Monsieur le Premier ministre, nous pourrions tous ici être d’accord sur ce point : en matière d’amour, il n’y a pas de déclarations, il n’y a que des preuves. Or, à l’occasion de votre passage à Londres, vous avez à nouveau manifesté votre amour pour les entreprises. Et dans l’un de ces mots d’amour, vous avez annoncé que vous souhaitiez ouvrir...
Il a même ajouté que le parti socialiste y était opposé, et le président de l’Assemblée nationale est allé dans le même sens. Monsieur le Premier ministre, nous commençons à être habitués à ces effets d’annonce, souvent peu suivis d’actes, surtout s’il s’agit de se faire applaudir à tel ou tel endroit, avant de revenir en arrière à la demande ...
…force est de constater que ce sont les mots régulièrement utilisés par la présidente de la commission d’enquête sénatoriale sur le contrat Écomouv’ pour définir l’attitude du Gouvernement face au dossier de l’écotaxe. Amateurisme, quand le Gouvernement décide de façon totalement arbitraire de suspendre cette taxe sans aucun fondement juridiqu...
Ni l’administration ni Écomouv’ n’ont été consultés sur les conséquences et le coût d’une éventuelle suspension. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)
Légèreté, quand le Gouvernement joue au pompier pyromane en lançant une polémique totalement infondée sur le contrat. Considérant la grande complexité du dispositif, la commission d’enquête a démontré que le choix d’un partenariat public-privé était bien la solution la plus rationnelle…
…que le marché était totalement transparent et que le coût de la collecte des radars fixé par l’État était exactement au même niveau que celui prévu par Écomouv’. Désinvolture, enfin, quand le Gouvernement envisage de supprimer l’écotaxe, il signe le coup d’arrêt d’infrastructures de transport dans notre pays. Le préjudice pour les collectivité...
M. Christian Eckert, secrétaire d’État chargé du budget, estime à 950 millions d’euros le coût de la résiliation d’une telle taxe, somme à laquelle il convient d’ajouter 1,2 milliard d’euros. De plus, avec ma collègue Marie-Jo Zimmermann, nous sommes très inquiets quant à l’avenir des contrats de travail déjà signés à Metz.
Ma question est très simple, monsieur le Premier ministre, quand votre gouvernement va-t-il prendre enfin une décision sur ce dossier ?
Madame la garde des sceaux, permettez-moi tout d'abord de vous rappeler, au nom du groupe UMP, qu'il n'y a ici ni juges, ni militaires ni agriculteurs : il n'y a que des parlementaires !
Ma question s'adresse à M. Pascal Canfin, ministre délégué aux affaires étrangères, chargé du développement. Le 26 avril dernier, monsieur le ministre, vous deviez vous rendre au Mali dans le cadre d'un accord de coopération, pour le développement et la sortie de crise de ce pays. Au moment d'embarquer, vous avez pris la décision d'annuler ce ...
En agissant de la sorte, vous avez remis en cause l'application des lois de la République, ce qui est inacceptable de la part d'un ministre.
La presse parle de « cas de conscience » ! Autrement dit, par acquit de conscience, vous seriez prêt à refuser l'expulsion d'individus dangereux et à garder sur notre territoire national un violeur d'enfant !
Votre cas de conscience va-t-il jusqu'à penser aux victimes ? Votre attitude est totalement inadmissible ! Elle montre que vous vous désolidarisez ouvertement de la politique affichée par le gouvernement auquel vous appartenez et constitue un véritable désaveu pour les forces de l'ordre. Ma question est donc simple : alors que la situation de ...