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Questions orales de Christian Jacob


39 interventions trouvées.

Monsieur le président, merci de me donner la parole pour ce rappel au règlement. Nous assistons à un dérapage, au fur et à mesure des questions d’actualité. Le Gouvernement, l’exécutif, ne répond plus aux questions de l’opposition.

Monsieur le Premier ministre, samedi matin, votre ministre de l’intérieur promettait la plus grande sévérité aux participants de la « Manif pour tous ». À sa décharge, nous reconnaissons qu’il est beaucoup plus facile de stigmatiser des citoyens pacifiques et honnêtes plutôt que de traquer les délinquants qui pourrissent la vie des Français

Il y a un an, vous nous avez proposé une loi pour la transparence de la vie politique à la suite du scandale de l’affaire Cahuzac. Cette loi traduit une véritable course démagogique à la transparence, qui débouchera sur le voyeurisme.

et j’ai bien compris que vous attendiez des propositions, mais depuis dix-huit mois, vous menez une politique fiscale asphyxiante et injuste : asphyxiante parce que vous avez écrasé notre économie avec 50 milliards d’impôts nouveaux, injuste car elle frappe sans retenue tous les Français alors que vous aviez annoncé ici même que 90 % d’entre eu...

Partout sur le territoire national, ils crient leur colère face à une France socialiste qui asphyxie le pays sous la dépense publique et l’impôt, ils crient leur colère face à une France socialiste qui dégrade notre pays et le plonge dans la faillite.

Les Français rejettent massivement votre politique. Ils rejettent le Président des impôts et le Président du chômage. Vous êtes impopulaire et en passe de perdre votre majorité. Hier, 63 députés de gauche, dont 17 socialistes, ont voté contre votre réforme des retraites ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)

Dans quel monde sommes-nous, monsieur le président ? Vraiment, je vous demande d’assumer les responsabilités qui sont les vôtres et de ne pas tomber dans l’indignité en cautionnant la mascarade à laquelle nous venons d’assister !

Nous n’acceptons plus qu’une minorité agissante impose le démantèlement de notre filière nucléaire. Nous n’acceptons plus que des militants dogmatiques imposent une loi collectiviste sur le logement. Nous n’acceptons plus que le contribuable paie au prix fort vos petits arrangements sur la taxe carbone. Votre pratique du pouvoir, monsieur le Pr...

Sa question s'adressait à vous. Monsieur le Premier ministre, notre modèle familial repose sur un trépied constitué par l'universalité des allocations familiales, le quotient familial permettant d'exercer une solidarité envers les familles ayant des enfants, et des dispositifs puissants permettant de concilier vie familiale et vie professionne...

Monsieur le Premier ministre, nous vous avons entendu, et nous avons entendu le Président de la République sur l'affaire Cahuzac. Vous cherchez l'un et l'autre à faire diversion. Vous n'êtes plus ni l'un ni l'autre en situation de faire la morale à qui que ce soit. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.) On ne peut pas se contenter d'un...

Elle aurait pu s'adresser au chef d'un gouvernement qui a perdu une élection législative partielle pour la cinquième fois consécutive. Je salue à cette occasion notre collègue Jean-François Mancel qui est de retour dans l'hémicycle. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.) Ma question aurait pu s'adresser au chef d'un gouvernement qui d...

Monsieur le président, ma question s'adressait à M. le Premier ministre, opportunément absent aujourd'hui. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Nous avons en effet vécu hier une séance de questions au Gouvernement indigne de l'Assemblée et le Premier ministre et son gouvernement en portent une lourde responsabilité. (Applaudissements sur...

La semaine dernière encore, nous avons appris qu'une usine Goodyear 1 200 emplois risquait de fermer à Amiens. L'heure est grave, monsieur le Premier ministre, et vous avez choisi de gouverner par diversion. Mais les Français ne sont pas dupes : ils ne comprennent pas votre obstination à maintenir, dans un tel contexte, l'examen du projet ...

Monsieur le Premier ministre, les institutions de la Cinquième République voulue par le Général de Gaulle ont donné au Président de la République la prérogative d'engager les forces françaises à l'étranger. Nous apportons donc notre soutien à la décision du Président de la République. (Applaudissements sur plusieurs bancs des groupes UMP et Ras...

Monsieur le Premier ministre, M. Montebourg nous annonçait mardi dernier : « Nous avons un repreneur crédible qui souhaite investir 400 millions d'euros pour rénover les hauts fourneaux de Florange ». Personne sur ces bancs ne peut imaginer un instant qu'un ministre de la République ait pu mentir à ce point à la représentation nationale ! (Appl...

Ma question s'adresse à M. le ministre de l'Intérieur. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Tous les gouvernements ont toujours eu une seule obsession : combattre le terrorisme dans le rassemblement et l'unité nationale. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.) Mais hier, ici même, vous avez tenu, monsieur le ministre, des propo...

Monsieur le Premier ministre, ce matin, nous nous sommes réveillés en nous disant que vous aviez changé, que vous n'étiez plus ni dans le dogme, ni dans le sectarisme, puisque vous avez déclaré que le retour aux 39 heures n'était plus « un tabou ». Enfin une bonne nouvelle ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP et sur plusieurs bancs d...

Monsieur le Premier ministre, cinq mois après votre nomination, il ne se passe pas un jour sans qu'un dirigeant du parti socialiste ou pire, l'un de vos ministres, ne vous défie, ne vous conteste ou ne vous contredise en public. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) En quatre jours, c'est le...

Ma question s'adresse à M. le Premier ministre. Le Président de la République a souhaité renouer avec l'interview du 14 juillet. Nous étions donc en droit de nous attendre à des réponses sur deux sujets de préoccupation majeure des Français. D'abord sur la compétitivité de nos entreprises. Or, vingt-quatre heures après l'annonce du plan socia...