C'est une usine à gaz !
Ça va être difficile à expliquer !
C'est tellement compliqué qu'il faut deux ans !
Vous tuez le nucléaire et vous faites monter les prix de l'électricité !
Il n'y a aucune volonté !
Faut-il rappeler qu'au printemps 2012, le même, candidat à l'élection présidentielle, proclamait urbi et orbi qu'il renégocierait le traité de stabilité budgétaire du 2 mars 2012 ?
Pourtant, c'est bien M. Hollande, Président de la République, et son gouvernement qui se sont résignés à faire ratifier ce traité sans en changer un seul mot, une seule virgule.
Votre texte, monsieur le ministre, me fait penser à ce vieux dicton qui avait cours en Dombes, le pays des étangs…
Monsieur le ministre, je sais bien que François Mitterrand disait qu'on ne sort de l'ambiguïté qu'à son détriment.
Le cumul, ce sera bientôt terminé !
Mais on peut aussi se grandir car ce qui est en jeu, c'est la parole de la France en Europe, c'est sa crédibilité sur les marchés financiers internationaux dont nous aurons besoin tant que nous devrons emprunter pour couvrir nos déficits, et c'est bien sûr la possibilité pour notre pays de sortir d'une crise qui fabrique des chômeurs et rogne le pouvoir d'achat.Monsieur le ministre, le débat qui commence vous fournit l'occasion de donner à votre projet toute sa portée et son sens : mettre en oeuvre, sans arrière-pensée, l'engagement européen de la France. Les amendements constructifs du groupe UMP peuvent vous y aider ; nous vous demandons d'y être ...
… et qu'il devenait absolument urgent de les remplacer. Quelles sont les options envisageables ?
Cela avait été budgété !
Enfin une bonne parole !
Ça faisait longtemps !
La brosse à reluire fonctionne !