Et les assurances privées ?
Minable ! C’est honteux !
Il est en train de dire qu’il ne sera pas là après le dîner…
J’ajoute que dans les petits départements ruraux, des petites entreprises de transports assurent le transport scolaire, et il n’est pas impossible que celui-ci soit à l’avenir organisé par de très grands groupes qui casseront les prix, avec pour conséquence un coût plus important pour les familles et moins de travail pour les entreprises.
… et il n’est pas certain que celle-ci soit maintenue à l’avenir.
Les propos de M. Maurice Leroy sont marqués au coin du bon sens et témoignent de la vision d’un élu qui connaît la réalité d’un territoire. Un département peut parfaitement organiser le transport scolaire, et on est en droit d’avoir quelque inquiétude sur la future organisation. L’organisation très précise du transport scolaire permet en effet de passer à des endroits où attendent des enfants, par exemple au bout du chemin d’une ferme, et de maintenir ouverte une école grâce à un circuit qui serait supprimé ou plus coûteux si l’on adoptait une vision plus globale. Dans le département du Gers, par exemple, les enfants bénéficient de la ...
Très bien !
Nous allons bien voir !
C'est terrible ! Quelle déception !
Non ! C'est juste long !
Vous n'avez jamais été conseiller général, vous !
Nous y vivons, dans ces cantons !
Eh oui, monsieur Poisson !
…ainsi que le président Jacob, qui a été présent très longtemps sur ces bancs, même si l'opposition a parfois été un peu répétitive.Je veux, mes chers collègues, saluer avec beaucoup de force notre rapporteur Erwann Binet (Les députés du groupe SRC et du groupe écologiste se lèvent et applaudissent longuement M. le rapporteur – Applaudissements sur les bancs des groupes GDR et RRDP.)Merci également à celle qui a été la porte-parole de notre groupe pour ce texte, Corinne Narassiguin. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)Merci à notre rapporteure pour avis, Marie-Françoise Clergeau, et à nos deux présidents de commission, Catherine ...
Je vous salue, monsieur Mariton, pour votre pugnacité et votre courage…
Je ne voudrais pas manquer de remercier également ceux qui vous ont suppléé, fût-ce de manière très brève : Laurence Dumont, Catherine Vautrin et Christophe Sirugue. (Applaudissements sur tous les bancs.)J'adresse également mes remerciements aux fonctionnaires et aux personnels de l'Assemblée nationale pour le travail qu'ils ont accompli durant tout ce débat (Mêmes mouvements), ainsi qu'à tous les collaborateurs de l'Assemblée nationale, qui ont travaillé dur sur ce texte.Je veux saluer nos collègues de l'opposition pour leur courage et leur pugnacité…
…afin de vous exprimer nos remerciements pour votre présidence brillante, intelligente, attentive. (Applaudissements sur tous les bancs – Les députés du groupe SRC et du groupe écologiste se lèvent pour acclamer M. le président.)
Conformément à l'avis que viennent d'exprimer M. le rapporteur et Mme la ministre, notre groupe est défavorable à ces amendements.Par ailleurs, m'exprimant au nom du groupe socialiste, républicain et citoyen, je voudrais, alors que nous arrivons à la fin de ce débat, m'adresser d'abord à vous, monsieur le président (Exclamations sur les bancs du groupe UMP)…
Dans vos rêves !
Cela vous laisse pantois !
C'est quoi, cette histoire de « petite légitimité » ?
Quel dommage que vous ne vous en soyez pas occupés pendant dix ans !
Petite légitimité ?
Il a trouvé un autre sophisme !
Où étiez-vous ces dix dernières années ?
La terre ne ment pas ? C'est ça ?
C'est promis ! On s'y met dès qu'on a une minute !
Qui n'a pas évolué depuis quinze ans ?
Ces gens ont abandonné les agriculteurs pendant dix ans !
Ce n'est plus M. Le Fur : c'est M. « le fond » !
Et Nathalie Kosciusko-Morizet ?
Même M. Mariton n'y croit pas !
Pourquoi ne vous en êtes-vous pas occupés pendant dix ans ?
Apportez-lui une bassine d'eau fraîche !
Et la circonscription !
Je demande la parole pour un fait personnel, monsieur le président ! (Sourires.)
Myard, on est morts de trouille !
C'est une pure illusion d'optique !
On va tout de même finir par se poser la question !
Nous en parlerons plus tard. C'est honteux !
Et vous aurez honte !
Vous faites moins le malin, monsieur Richard !
Parole d'orfèvre !