Les amendements de Jean-Frédéric Poisson pour ce dossier

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Monsieur le président, si vous me le permettez, je conclus en une phrase. (« Non ! »sur les bancs des groupes SRC et GDR.) Si, le président le permet ! Ce n'est pas vous qui êtes chargés de la police de notre assemblée ! Dans le contexte de ce soir, a fortiori dans la situation que nous avons connue il y a quelques minutes, s'agissant du conte...

Merci, monsieur le président. Je voudrais remercier notre excellent collègue de la majorité qui vient de parler, laissant mes collègues de l'opposition s'exprimer sur le fond de ces amendements. Il est parfaitement libre de son appréciation du travail que nous faisons, même si elle s'écarte de celle de la garde des sceaux qui tout à l'heure a r...

Y a-t-il ou non, dans l'avis du Conseil d'État, des réserves importantes sur le projet de loi que vous nous présentez aujourd'hui ? Si oui, lesquelles ? Si non, pourquoi ne pas simplement répondre d'un mot : « non » ? Cela nous suffirait. Je souhaite porter au débat un élément d'information qui explique également notre position. Je fais référe...

Voici ce qu'il dit : « Pourquoi refuser ce que l'on peut nommer une dérégulation du mariage si ce n'est au nom du droit des enfants susceptibles de naître dans un tel cadre juridique ? Faisons mémoire de l'intention du législateur, des révolutionnaires de 1792, illuminés par la Déclaration des droits de l'homme reconnaissant des droits inhérent...

Je termine, monsieur le président : « Or quel est le bien fondamental dû à l'enfant que notre société se doit de respecter ? Vivre dans la continuité de la double origine dont il est issu. »

J'ai été beaucoup interrompu, monsieur le président. « La sexuation concerne toute la personne, masculine ou féminine, père ou mère, et »

Je suis d'accord avec Marc Le Fur sur la nécessité de disposer de l'avis du Conseil d'État, qui, à ce stade de nos débats, me semble être un élément tout à fait essentiel. En revanche, contrairement à lui, j'invite vivement nos collègues de la majorité je m'adresse en particulier à vous, monsieur Guedj à continuer à nous invectiver, parfois...

cela nous donne de l'énergie et nous incite à poursuivre dans la voie que nous avons choisie. Madame la garde des sceaux, je comprends tout à fait que notre attitude vous décontenance, s'agissant de l'écriture de la loi, mais tout de même ! Je reviens sur la remarque qu'a faite notre rapporteur, tout à l'heure. Je conçois que l'article-balai,...

Une nouvelle fois, je demande à Mme la garde des sceaux si l'avis du Conseil d'État comprend des réserves sur le projet de loi qui nous est soumis. Si oui, quelles sont-elles ? Si non, pourquoi ne nous répond-elle pas ?

et je continuerai jusqu'à ce que j'obtienne une réponse. Par ailleurs, je suis en désaccord sur un point avec mon collègue Le Fur, mais il me le pardonnera. Nous regrettons, bien entendu, que le président de la commission des lois soit retenu par sa tâche, mais nous saluons la présence de notre collègue Le Bouillonnec et nous l'en remercion...

Madame la garde des sceaux, je vais à nouveau poser la question, une question désormais rituelle et à laquelle il ne me paraît pas difficile de répondre. J'ai écouté attentivement votre intervention il y a quelques instants et je vous remercie d'avoir pris le temps de nous répondre de manière plus précise. Je comprends que vous vous réfugiiez d...

Madame la ministre, j'ai l'honneur de vous demander, pour la quinzième fois, s'il y a dans l'avis du Conseil d'État des réserves d'interprétation. Dites-nous « oui », ou dites-nous « non », mais s'il vous plaît, dites-nous quelque chose ! Je porte au débat un avis publié par notre rapporteur à propos de ce projet de loi qui motive à la fois no...

Nous aurons l'occasion, dans les temps qui viennent, de réitérer notre demande d'informations plus précises sur l'avis du Conseil d'État. Celles-ci devraient nous permettre de préciser le contenu de nos travaux, puisque ces juristes éminents ont semble-t-il émis des critiques sévères sur le projet de loi. Il me paraît donc difficile de continue...

Voyant le ministre des relations avec le Parlement prêt à intervenir, je vais soulager Mme la garde des sceaux de ma dix-septième interrogation et porter au débat la suite de la contribution de Mme la professeure Nelrinck aux travaux de notre commission : « La démarche entreprise par la Gouvernement, écrit-elle, manque de clarté car, s'il affi...

Nous répétons une nouvelle fois, comme nous le ferons inlassablement, que nous sommes opposés à ce projet. Ces amendements sont à peu près la seule façon pour nous de le dire jusqu'à la fin de ces débats. Nous ne nous lasserons pas de dire notre opposition à l'article 1er et à l'ensemble des articles qui en découlent. À chacune des occasions qu...

Dans le souci de ne pas prolonger inutilement nos échanges sur cette dernière série, je ne détaillerai pas ma présentation, qui n'a échappé à personne. L'amendement est défendu.

Il est défendu. Au risque de vous surprendre, monsieur le président, nous sommes tout à fait attentifs à ce que les droits du Gouvernement soient respectés dans cette assemblée, et nous serions évidemment très intéressés de connaître la réponse de Mme la garde des sceaux. J'ajoute à la question du président de notre groupe une question simple...

Nous allons continuer d'interroger les ministres au banc, surtout après l'intervention de M. Touraine. Quand on connaît son honnêteté intellectuelle, on n'imagine pas qu'il ait pu porter une telle appréciation sans avoir une connaissance complète du document auquel il fait référence.

De deux choses l'une : ou bien il s'est avancé un peu rapidement, ce qui m'étonnerait de lui, ou alors il a des éléments dont nous ne disposons pas, ce qui m'étonnerait encore plus. Madame la garde des sceaux, confirmez-vous que le Conseil d'État émet des réserves importantes dans cet avis ? Si oui, nous aimerions savoir lesquelles. Si non, no...

Nous aurons largement le temps de revenir sur le fond des amendements, et je m'arrêterai donc un instant sur la manière dont, au cours des questions au Gouvernement, lorsque nous avons interrogé à répétition le Gouvernement sur la disparition des termes « père » et « mère » de différents codes, pour quelque 150 occurrences, nous nous sommes ent...