Les amendements de Jean-Pierre Vigier pour ce dossier

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Ma question s’adresse à M. le ministre de l’aménagement du territoire, de la ruralité et des collectivités locales. Le monde rural est exaspéré d’être déconnecté. Nous, les ruraux, nos téléphones portables ne captent pas, non pas parce que nous sommes dans les tunnels du métro, mais parce que nous vivons en milieu rural !

Le programme « zones blanches » est insuffisant, car de nombreuses zones ne sont pas couvertes. Par ailleurs, la loi Macron votée en 2015 prévoit qu’il soit en partie réalisé avant le 31 décembre 2016. Qu’en est-il ? Quant aux crédits inscrits dans le projet de loi de finances pour les sites mobiles stratégiques, ils ne sont pas à la hauteur de...

Monsieur le ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt, les instructions de la Direction générale de l’alimentation relatives à l’obtention d’un certificat phytosanitaire pour l’export de grumes non écorcées sont irréalisables. La seule possibilité que vous laissez aux professionnels de la filière bois est l’écorçage. Or, d...

Monsieur le ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt, nos agriculteurs vous rendent ce que vous leur faites : vous leur tournez le dos et ils vous tournent le dos. Nos agriculteurs ont le dos large ; hommes de la terre, ils savent endurer. Mais désormais, vous devez agir. Nos agriculteurs attendent des actions concrètes e...

La Commission européenne vous donne un feu vert pour agir. Alors, allez-vous appuyer sur l’accélérateur ? Ce passage à la vitesse supérieure, vous le devez à nos agriculteurs ainsi qu’à notre ruralité – 80 % du territoire français. Notre France rurale ne veut pas voir ses exploitations agricoles disparaître les unes après les autres.

Monsieur le ministre, il y a urgence à prendre des mesures répondant aux problèmes de fond d’une crise agricole qui s’enlise. Monsieur le ministre, il y a urgence à arrêter votre politique anti-entreprises menée depuis quatre ans, dont pâtissent nos agriculteurs.

Monsieur le ministre, il y a urgence à ce que nos paysans vivent décemment du fruit de leur travail. Quand considérerez-vous notre agriculture comme une richesse et une force pour notre pays ? À quand des mesures concrètes et structurelles pour l’agriculture française ?

Monsieur le Premier ministre, nos agriculteurs sont à nouveau dans la rue. Et pour cause : vous les mettez à la rue ! Vous les oubliez, vous les abandonnez, vous les ignorez. Vous n’écoutez pas leurs cris d’alerte et de souffrance. Ils traversent une grave crise, une crise structurelle, qui a trop duré. Or ils sont une force vive de notre pays ...

Comment votre majorité peut-elle, en commission des affaires économiques, rejeter article par article notre proposition, qui est l’aboutissement d’un important travail en lien avec nos agriculteurs ?

Il est grand temps de redonner leur fierté à nos agriculteurs. Il est grand temps de retrouver une agriculture compétitive, performante et innovante. Il est grand temps que nos agriculteurs vivent du fruit de leur travail et obtiennent des prix rémunérateurs. Monsieur le Premier ministre, à quand une véritable politique agricole française ? Il...

Ma question, à laquelle j’associe M. Dino Cinieri, s’adresse à M. le Premier ministre. Monsieur le Premier ministre, écoutez nos agriculteurs ! Ils souffrent. Ils ne sont pas entendus. Ils sont mal considérés par votre gouvernement.

Ils traversent une crise profonde et structurelle, qui est destinée à durer. Monsieur le Premier ministre, écoutez nos agriculteurs ! Votre ministre de l’agriculture n’entend pas la détresse de nos paysans. Il est absent et n’a aucun poids à Bruxelles. Il fuit même les salons agricoles.

Monsieur le Premier ministre, écoutez nos agriculteurs ! Ils ne vivent plus de leur travail. Il est urgent de prendre des mesures qui répondent aux problèmes de fond. Nous devons leur donner des perspectives. Redonnez de la compétitivité à nos agriculteurs ! Arrêtez de les assommer de charges ! Arrêtez l’inflation et la sur-transposition des no...

Des dotations de l’État fortement réduites viennent d’être notifiées aux collectivités locales. La diminution est de 3,5 milliards d’euros pour 2015 et de onze milliards sur trois ans ! La baisse de la dépense publique, d’accord mais au bon endroit et par la concertation !

La baisse des dotations est très mal vécue dans nos territoires ruraux. Vous nous tuez à petit feu ! Nos budgets de fonctionnement sont déjà très serrés et nous n’avons pas de marge de manoeuvre pour les réduire. Ainsi, chaque euro en moins versé par l’État, c’est de l’investissement en moins dans l’économie locale et les mesures pansements rel...

Le monde rural a besoin de mesures justes et adaptées à ses réalités, au premier rang desquelles l’amplification de la péréquation. En outre, la répartition des dotations doit procéder d’un esprit d’aménagement du territoire. Notre monde est en transition : transition numérique, transition écologique et bien d’autres.

À quand, monsieur le Premier ministre, la transition ruralejuste, équitable, budgétée et tenant compte des réalités des territoires ?

Monsieur le Premier ministre, aujourd’hui, les territoires ruraux, leurs spécificités et leur développement économique sont totalement oubliés dans la réforme territoriale. Il est temps de donner une réelle chance à la ruralité. Elle a aussi ses atouts ! Cette réforme a pour ambition d’être le pilier du redressement du pays. Elle ne peut se f...

Monsieur le Premier ministre, à quand une simplification des normes pour les territoires ruraux ? Il est impératif d’adapter à ces territoires les normes qui ont été faites pour le monde urbain, notamment, en matière d’accessibilité, de sécurité et sur le plan environnemental. Nous devons faire des économies. Oui, faisons-en et simplifions ! ...

Monsieur le Premier ministre, les Français jugent une politique à l’aune de sa cohérence. En matière de collectivités territoriales, je dois vous dire que l’on y perd son latin.