Les amendements de Sandrine Mazetier pour ce dossier
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Je suis saisie d'une nouvelle série d'amendements identiques. Vous avez la parole, monsieur Gosselin pour soutenir l'amendement n° 2469.
Je suis saisie d'une série d'amendements identiques. La parole est à M. Jean-Frédéric Poisson pour soutenir l'amendement n° 2648.
Je suis saisie d'une série d'amendements identiques. La parole est à M. Jean-Frédéric Poisson pour soutenir l'amendement n° 2652.
Je suis saisie d'une série d'amendements identiques. La parole est à M. Jean-Frédéric Poisson pour soutenir l'amendement n° 2608.
Merci, monsieur le président. Je voudrais dire à ceux de nos collègues de l'opposition qui croient à l'enfer qu'il est souvent pavé de bonnes intentions. Il n'y a pas, dans ce pays, de droit à l'enfant. Les seuls qui se battent pour le droit à l'enfant, ce sont les commandos anti-IVG qui s'enchaînent régulièrement devant les cliniques et les hô...
Je voudrais aussi vous dire que les débats que nous menons vous emportent bien loin. Je voudrais vous alerter, mes chers collègues de l'opposition, sur la portée des amendements que certains vous font défendre et que vous ne mesurez pas. (Protestations sur les bancs du groupe UMP.)
Dire que l'intérêt supérieur de l'enfant est de vivre prioritairement auprès du père et de la mère dont il est né, ce sont des choses qu'on ne dit plus dans notre pays depuis plus d'un siècle ! La priorité biologique, cela fait bien longtemps que c'est fini !
L'intérêt supérieur de l'enfant est ailleurs. Il aurait dû vous amener à dénoncer Civitas et les amis du professeur Lejeune, qui faisaient prier des petits enfants l'autre soir à 22 heures dans la rue, sous la pluie. Des photos en témoignent. (Applaudissements sur quelques bancs du groupe SRC.)
Mon rappel au règlement est analogue à celui qu'a fait ce matin notre collègue Bernard Lesterlin. Chers collègues de l'opposition, je vous invite
Si vous avez envie de commenter les seize questions écrites que j'ai posées au Gouvernement depuis le début de la quatorzième législature, je vous invite à le faire, par écrit ou oralement, mais pas dans cet hémicycle, à l'occasion de la discussion de ce projet de loi. Aucune de ces questions écrites n'a de rapport avec le texte que nous examin...