Si l'on veut faire basculer le pays dans la récession, il suffit de voter l'instauration d'une TVA compétitivité !
Je voudrais exprimer mon appui à notre collègue Régis Juanico. Le mouvement sportif, c'est quatorze millions de licenciés, soit plus que tous les syndicats, partis politiques et confessions religieuses réunis, et vingt-cinq millions de pratiquants. Si vraiment on ne peut pas trouver dans le budget de la nation 16 millions d'euros supplémentaires au bénéfice d'un mouvement sportif qui se sent délaissé depuis des années, c'est assez inquiétant.
À cause de vous !
Catastrophique !
Je suis heureux et fier de constater que le Gouvernement assume clairement une orientation de justice sociale dans la répartition de l'effort qui est demandé aux Françaises et aux Français. D'ailleurs, si certains en doutaient encore, le concert des jérémiades de la droite, du MEDEF et de ses satellites tels que les « pigeons » suffit à nous rappeler que ces nouvelles pleureuses ont bien compris quels étaient les objectifs du Gouvernement.Le Gouvernement fait porter l'effort sur les plus hauts revenus et patrimoines. Pour cela, il crée tout d'abord une tranche supplémentaire au taux de 45 % pour la fraction des revenus supérieure à 150 000 euros par part de ...
Apocalyptique !
C'est pour cela que nous le voterons !
Le traité, c'est de la pataphysique !
Ce n'est que de la rhétorique !
Je m'exprimerai à propos de l'article 28.
Je partage l'avis de la commission et du Gouvernement.J'ai, avec Régis Juanico, été l'un des artisans de l'adoption de cet amendement en commission, bien que nous n'ayons pas pu, dans les délais impartis, parvenir à trouver un gage parfait. Je comprends donc la position du Gouvernement, qui rejette, sur un plan technique, la proposition qui est faite.Le double objectif de l'amendement est cependant atteint.Premièrement, appeler l'attention de la représentation nationale et du Gouvernement sur la nécessité urgente de se préoccuper des moyens du CNDS. Pendant sept ans, j'ai été adjoint au maire de Paris, chargé des sports. J'ai pu prendre la mesure de la ...
Cher collègue de l'UMP, je vous rappelle que le processus du cofinancement de la rénovation des stades a été initié par l'État, comme c'est la tradition dans le cadre de l'accueil des grandes compétitions internationales. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)La question qui était posée était de savoir si le Parc des princes devait accueillir des compétitions ou non. Je rappelle que c'est la ville de Paris qui en est propriétaire et pas un fonds d'investissement qatari comme vous semblez le dire. Pour un ancien directeur de cabinet des ministres des sports, je vous trouve bien mal renseigné.(L'amendement n° 88 n'est pas adopté.)
C'est vrai !
800 milliards de dettes !
Très bien !
C'est un sujet majeur !
Très bien !
Ça, c'est sûr !
Nous nous apprêtons à refermer un dossier qui avait été mal ouvert au temps de la précédente majorité. Celle-ci avait commis une faute et je sais qu'au fond d'eux-mêmes beaucoup de collègues de l'opposition actuelle regrettent les dispositions qui avaient été prises…
C'est une question de volonté : si l'on considère que la multiplication des produits spéculatifs pose un problème, il faut bien fermer progressivement le robinet.
On se demande qui fait du théâtre, monsieur Jacob !
C'est votre héritage !
C'est l'hôpital qui se fout de la charité !
C'est un amendement de bon sens.
Je ne crois pas que cet accord soit aussi unanime.
C'est un amendement de bon sens. J'invite la Commission à l'adopter.
Je n'ose plus dire que cet amendement est de bon sens, bon sens qui semble avoir momentanément quitté M. le rapporteur spécial. C'est un amendement évident.
Vous voilà exaucé !
Laignel n'a pas changé, lui !