Les amendements de Anne Grommerch pour ce dossier

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J’associe à ma question mes collègues Guillaume Larrivé, Éric Ciotti et Jean-Frédéric Poisson. Monsieur le ministre de l’intérieur, la police technique et scientifique est au coeur de l’action policière. Elle est un maillon incontournable tant pour incriminer que pour innocenter. Ceux qu’on appelle communément « les experts » sont soumis à des...

Monsieur le Premier ministre, votre gouvernement a rendu public hier un bilan d’étape de la réforme des rythmes scolaires : un satisfecit d’autocongratulation qui ne donne pourtant aucune indication sur l’impact des nouveaux rythmes sur l’apprentissage des enfants. Autrement dit, vous présentez un bilan qui ne traite pas de l’essentiel de la ré...

Monsieur le Premier ministre, comptez-vous ouvrir le dialogue pour un rééchelonnement des baisses de dotations qui, aujourd’hui, font porter un effort financier disproportionné aux communes et intercommunalités ?

Monsieur le Premier ministre, la réponse du ministre du travail à la question de notre collègue Gérard Cherpion ne peut nous satisfaire. La situation de l’emploi est catastrophique et vous devez comprendre que les postures, les annonces et les mesurettes ne sont plus acceptables.

Je vous rappelle les chiffres funestes : plus de 8 000 chômeurs supplémentaires en décembre, la France compte plus de 600 000 chômeurs de plus qu’au début du quinquennat de François Hollande et flirte désormais avec la barre des 3,5 millions de chômeurs de catégorie A, soit un total de 5.5 millions de chômeurs.

Toutes les catégories sont concernées : le chômage des seniors atteint des records, celui de longue durée explose et le chômage des jeunes lui-même est reparti à la hausse, malgré la multiplication des contrats aidés qui pèsent très lourd dans notre budget. Depuis deux ans, le Président de la République nous promet que la courbe du chômage va ...

Monsieur le président, pour faire suite aux propos du ministre de l’éducation nationale, je regrette que vous n’ayez pas fait observer une minute de silence pour cette enseignante au début de la séance. Monsieur le Premier ministre, « faire et défaire », telle est la marque de fabrique de votre Gouvernement, comme elle était celle du gouvernem...

Permettez-moi d’abord de saluer les habitants de Thionville qui ont choisi de fermer la parenthèse de six ans de socialisme !

Monsieur le Premier ministre, hier, dans votre élan de lucidité sur le mauvais bilan des deux premières années de l’action de François Hollande et du gouvernement auquel vous apparteniez, vous n’avez pas fait la vérité sur la situation dramatique d’exclusion de l’emploi d’un nombre toujours croissant de nos concitoyens – ce n’est d’ailleurs pas...

Vous voulez parler vrai, dites-vous, mais vous n’avez pas dit qu’en février, le chômage a encore frappé 31 500 personnes de plus – ce n’est pas moi qui le dis, ce sont les chiffres officiels. Vous n’avez pas dit que le chômage des non diplômés a connu une hausse de seize points – ce n’est pas moi qui le dis, mais une très sérieuse étude du Cent...

Vous voulez agir concrètement, dites-vous : dans ce cas, quand allez-vous rétablir la prime à l’embauche de 1 000 euros pour les sociétés de plus de dix salariés ? Quand allez-vous rétablir dans son intégralité le crédit d’impôt apprentissage ?

Quand allez-vous rétablir une fiscalité anti-délocalisation, dont vous étiez pourtant le chantre lors de votre primaire ? Enfin, quand allez-vous abolir la hausse de TVA dans les secteurs pourvoyeurs d’emplois non délocalisables tels que le bâtiment et la restauration ? (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)

Ma question s’adresse au Premier ministre et j’espère que c’est vous, monsieur le Premier ministre, qui me répondrez ainsi que vous venez de le faire pour la question de M. Liebgott.

Le 24 février 2012, chez ArcelorMittal à Florange, le candidat Hollande, juché sur une camionnette avait harangué les salariés en leur promettant une loi qui sauverait les hauts fourneaux.

Les hauts fourneaux se sont éteints. La loi dite Florange ne s’appliquera même pas à Florange ! Les Lorrains en gardent comme un arrière-goût de trahison. Jeudi dernier, François Hollande est revenu sur le site d’ArcelorMittal à Florange. Mais revenir pour dire quoi ?

Désavouant au passage son ministre du redressement productif Arnaud Montebourg, qui ne faisait pas partie du voyage alors que directement concerné, (« Eh oui ! » sur les bancs du groupe UMP) il est venu proclamer sa foi en la Lorraine. Quel cynisme ! Il fait de Florange son nouveau lieu de pèlerinage, j’espère qu’il ne se transforme pas en chem...

En effet, que de nouvelles promesses ! 20 millions d’euros pour un laboratoire de recherche publique à Florange qui pose beaucoup de questions, monsieur le Premier ministre. Pour qui, pour quoi ? Avec quel argent ? Vous avez évoqué 300 millions d’euros pour le Pacte Lorraine. Seulement 150 millions d’euros, soit 10 % de financement viendront d...

Les autres 150 millions annoncés proviennent du conseil régional. Monsieur le Premier ministre, avez-vous conscience d’avoir signé avec le président du conseil régional un pacte fictif, voire illégal, car cet engagement de 150 millions d’euros du conseil régional n’a fait l’objet d’aucun vote de l’assemblée l’y autorisant !

Monsieur le Premier ministre, mercredi dernier, votre ministre du redressement productif recevait les élus mosellans et les syndicats d'ArcelorMittal afin de leur confirmer l'existence d'un repreneur pour le site de Florange, moyennant 400 millions d'euros d'investissement. Cette nouvelle a fait naître beaucoup d'espoir. Vendredi soir, vous le...

Ici même, hier après-midi, vous déclariez avoir obtenu 180 millions d'euros d'investissement au cours des cinq prochaines années. Depuis hier soir, ce ne sont déjà plus que 53 millions. Quelles explications pouvez-vous nous fournir ? Comment comptez-vous contraindre M. Mittal à investir dès 2013 et non pas en 2014 comme cela a été annoncé ? Mo...