Les amendements de Éric Ciotti pour ce dossier

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Monsieur le Premier ministre, lors des tragiques événements qu’a connus notre pays au mois de janvier, nos forces de l’ordre ont été exemplaires de courage et d’efficacité. Alors que la menace terroriste reste maximale, on sait que nos policiers et nos gendarmes sont des cibles particulièrement exposées. Au quotidien, la menace est permanente. ...

Nos policiers ont besoin d’être défendus. Vous avez beaucoup parlé ; aujourd’hui, ils attendent, les Français attendent des actes. Vous avez une occasion très claire de manifester votre soutien aux policiers, en exprimant votre soutien à la proposition de loi du groupe UMP, dont nous débattrons dans quelques semaines. Monsieur le Premier minist...

Ma question s’adresse à M. le Premier ministre. Notre pays a été confronté, la semaine dernière, à l’une des pires épreuves qu’il a eu à connaître dans sa longue histoire. La France a fait face à cette tragédie avec dignité, dans un esprit d’unité et de rassemblement. Vous avez hier, monsieur le Premier ministre, dans un beau discours républic...

Ma question s’adresse à M. le Premier ministre. Monsieur le Premier ministre, depuis deux ans, votre majorité s’emploie – d’une façon méthodique, il faut bien le reconnaître – à saper les fondements essentiels de l’école de la République.

Prisonnier d’une idéologie égalitariste, vous vous êtes attaqués à tous les piliers porteurs d’un système éducatif qui, depuis Jules Ferry, au fil des décennies et des siècles, a fait la force de notre pays. La laïcité, tout d’abord, qui est mise à mal avec la dernière circulaire de Mme Vallaud-Belkacem autorisant le port du voile pour les acc...

…qui épuisent les élèves tout en les détournant de l’apprentissage des savoirs fondamentaux. Dernière cible que vous avez choisie : les notes. Un rapport nous annonce en effet aujourd’hui que vous allez les supprimer au profit d’un « système d’évaluation bienveillant » ! Monsieur le Premier ministre, ça suffit ! Cette entreprise de destructio...

Ne laissez pas ceux qui, dans votre gouvernement, sont prisonniers d’une idéologie d’extrême gauche post-soixante-huitarde détruire ce qui fait la force de notre système scolaire !

Monsieur le Premier ministre, les Français ont assisté hier, médusés, au spectacle étonnant d’un Président de la République auto-satisfait, ravi de lui-même, enfermé dans un profond déni de réalité.

Après avoir promis – avec le succès que l’on connaît – l’inversion de la courbe du chômage, M. Hollande perçoit désormais – hélas !, il est bien le seul – la reprise économique.

Les Français, naturellement, ne sont pas dupes. Plus grave peut-être, hier, lors de cette intervention, le Président de la République s’est aventuré sur le chemin de la division des Français.

En prônant, une fois de plus, le droit de vote pour les étrangers, M. Hollande joue aux apprentis sorciers avec les communautarismes qui menacent notre nation. En promettant la proportionnelle aux élections législatives, M. Hollande joue également aux apprentis sorciers avec nos institutions. En laissant Mme Taubira réfléchir à l’extension de...

La ficelle est grosse ! Cette manoeuvre est évidemment électoraliste. Ma question, monsieur le Premier ministre, est donc simple : quand arrêterez-vous de jouer avec la République à des fins bassement électorales ?

Monsieur le Premier ministre, au mois de juillet 2013, alors que vous étiez ministre de l’intérieur, vous preniez votre plume pour écrire au Président de la République afin de le mettre en garde contre les dangers que recelait le projet de loi de réforme pénale de Mme Taubira.

Vous êtes aujourd’hui Premier ministre, et vous venez de présenter ce texte à la représentation nationale, nous avons commencé à en débattre ce matin en commission des lois. Ce texte, vous le jugiez alors légitimement comme dangereux, vous évoquiez une légitimité fragile, et vous le présentez malgré les risques et les menaces qu’il fait peser s...

Nous vous mettons en garde solennellement contre les dangers de ce texte. Nous vous demandons instamment de réfléchir avant de présenter ce texte dans cet hémicycle.

Notre pays n’a pas besoin de tensions, notre pays est suffisamment en souffrance pour ne pas exacerber les haines et éviter de faire en sorte que la délinquance ne redevienne un sujet au coeur des préoccupations de nos concitoyens.

Monsieur le Premier ministre, il est de votre devoir, parce qu’il en va de la sécurité de nos concitoyens, de retirer ce texte dangereux qui menace la sécurité des Français ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)

Ma question s’adresse à M. le Premier ministre. Les Français ont découvert la semaine dernière, monsieur le Premier ministre, étonnés, médusés et révoltés, il faut bien le dire, les propositions des cinq groupes de travail sur l’intégration que vous avez installés. Elles s’attaquent aux principes porteurs de notre République et érodent les pili...

En effet, la grande loi de 2004 interdisant le port du voile à l’école est remise en cause, la langue de la République, qui est le français, mise sur le même plan que d’autres et l’histoire de notre pays est selon les rédacteurs du rapport à réviser. De telles propositions suscitent la colère des Français, monsieur le Premier ministre ! Si elle...

Face à l’émotion soulevée dans le pays par ces propositions, le Président de la République vous a désavoué. Mais les Français attendent aujourd’hui des réponses claires. Contrairement à M. le président de l’Assemblée nationale, ils n’ont pas envie de « faire avec ». Ils veulent des mesures clarifiant les choses. Si lces propositions ne sont pa...