Surtout ceux d'en face !
Mais tout le contexte !
Que représentent les crédits d'études au sein du budget total de l'Ansès ?
Ma question s'adresse à M. le Premier ministre. Elle concerne le financement de notre économie, le financement de nos PME, le financement de notre industrie, c'est-à-dire les vrais problèmes du pays, qui sont notre seule préoccupation. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)Il y a quelques jours dans mon département, l'Essonne, j'ai rencontré une entreprise… (« Ah ! » sur les bancs du groupe UMP.) Quinze salariés, besoin de financement : 500 000 euros pour racheter un concurrent allemand.Il y a quelques jours encore, j'ai rencontré les dirigeants d'une autre entreprise, dans le secteur de l'optique, (Même mouvement) qui avait besoin de 5 millions : ...
Non, il épargne plus !
Amnésique ! C'est de l'Alzheimer précoce !
Mieux vaut entendre ça qu'être sourd !
Si vous n'étiez pas d'accord avec les 35 heures, pourquoi ne les avez-vous pas supprimées ?
Ah ! C'est une bonne expression !
On a vu ce que cela a donné !
On l'a bien vu avec vous !
Pour conclure, je me félicite de la volonté du Gouvernement de soutenir nos PME…
Oui, mais je suis bien en deçà du temps dont ont disposé Mme Kosciusko-Morizet et Mme Pécresse !
Vous avez une montre à géométrie variable, madame la présidente !
Évidemment, il a entre-temps oublié cette proposition.L'article 6 du projet de loi est un article de justice. Il soulève un vrai problème, qui ne sera d'ailleurs sans doute pas réglé par cette discussion budgétaire : celui de l'économie du futur, des nouvelles entreprises innovantes dans les secteurs du numérique, des biotechnologies ou encore des nanotechnologies. Ces entreprises fonctionnent sur des modèles qui n'ont rien à voir avec ceux de l'industrie traditionnelle. Ce sont des industries à haut risque, dont la durée de vie est extrêmement incertaine et qui ne trouvent pour leur développement que des moyens privés, d'ailleurs trop rares en France.Il est ...
Je me félicite, enfin, que le Gouvernement concilie ainsi justice sociale et efficacité économique. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)
Bonne idée ! Que ne l'avez-vous fait plus tôt ?
Bonne idée ! Nous la notons !
À la suite de M. Muet, je veux rappeler que cette disposition est comparable à ce qui existe dans différents pays auxquels il est souvent fait référence sur ces bancs.Au Royaume-Uni, le taux marginal doit être d'environ 50 % pour les revenus de l'ordre de 170 000 euros par an ; aux États-Unis, la situation est plus complexe à cause du système fédéral…
À une heureuse exception près : celle de M. de Courson !
Quel sort est fait aux bons de souscription de parts de créateur d'entreprise ?
Je voudrais juste être sûr d'avoir bien compris les conséquences de l'amendement du Gouvernement : les bons de souscription de parts de créateurs d'entreprises auront désormais un régime fiscal plus favorable que les actions gratuites.
C'est toujours les mêmes éléments de langage qui reviennent !
J'ai à peine le temps de souligner la contradiction du raisonnement de M. Benoit. Alors que toute la matinée on nous a reproché d'être des créateurs d'impôts, voilà un des orateurs de l'opposition qui vient nous expliquer que c'est une vraie folie d'avoir supprimé la TVA sociale, impôt créé par eux et qui allait ponctionner les Français de 13 milliards ! (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)
Excellente démonstration !
Monsieur le président, si je comprends bien nos collègues de l'opposition, qui sur ce sujet ont beaucoup varié,…
…et les propositions des économistes vont bien au-delà de cette alternative.Surtout, pour bien travailler sur le coût du travail, il faut différencier la situation des entreprises selon la nature de leurs produits, mais aussi selon leur niveau d'exposition à la concurrence internationale.
Il faut trouver des assiettes qui permettent de tenir compte de manière différenciée des efforts menés en matière de coût du travail dans les entreprises.
Il a l'esprit de synthèse !
Je m'étonne à mon tour du climat qui règne ce matin et de la difficulté de nos collègues de l'opposition à faire sonner leur réveil de bonne heure.
Il faut dire que nous donnons ce matin le troisième coup de boutoir au bilan de la majorité sortante. Pour l'essentiel, les cinq années du gouvernement précédent se résument à trois éléments : le chômage, la dette et les privilèges.Avec l'article 1er, nous avons évité de ralentir à nouveau la croissance, donc d'augmenter le chômage, en supprimant la TVA dite sociale, appellation d'ailleurs abandonnée depuis. En empêchant une ponction sur la consommation de près de douze milliards d'euros, nous avons évité, en période très difficile, de réduire la consommation, donc de ralentir la croissance.Hier, peut-être ne l'avons-nous pas assez dit et il faut le ...
Monsieur Lamblin, je ne sais si le terme nauséabond est approprié, mais vous prenez, dans votre exposé des motifs, des libertés avec des concepts que nous n'étions pas habitués à vous voir manier avec autant de légèreté.C'est d'abord la préférence nationale, que vous revendiquez en écrivant qu' « il convient de favoriser l'emploi des citoyens français ».
À la réflexion, je me demande si les propos de M. Eckert n'étaient pas en deçà de la vérité.(L'amendement n° 108 n'est pas adopté.)
Thierry Mandon Impressionnant !
Thierry Mandon Très bien !
Thierry Mandon Exact !
Thierry Mandon Ce n'était vraiment pas nécessaire !
Thierry Mandon Très bien !
Thierry Mandon Eh oui !
Thierry Mandon Même si ces crédits ont baissé au cours des dernières années, comme vous le savez très probablement, monsieur Woerth, a priori l'effort d'économies demandé à ces acteurs n'entraîne pas de conséquences lourdes, si l'on en juge par l'examen de ces trente-six contrats.Enfin, pour financer cette mesure, vous proposez de prélever 12,5 millions d'euros sur le budget de la recherche, ce qui ne me semble pas opportun.
Cet alinéa, si peu utile aux yeux de M. Mariton, pose pourtant un principe qu'il aurait été utile de rappeler au cours des années précédentes.
Monsieur de Courson, faut-il comprendre que contrairement au projet du Gouvernement, c'est dès cette année que votre amendement prévoit une économie d'un milliard d'euros pour le budget de l'État ?
Il y a trois groupes, maintenant ! (Sourires.)
De toute façon, il n'y a plus de gaullistes dans l'hémicycle !
Ah ! Cela fait du bien !
Et ce n'est pas fini !