Alors, laissez-les tranquilles !
Mais pas prêts à les voter !
C’est quoi, l’État de droit ?
Arrêtez, vous devenez comique !
« C’est pas nous, c’est les autres ! »
Pas les institutions, le Gouvernement !
C’est une jacquerie !
C’est ce que disent tous les médecins.
Disons que vous essayez.
Alors, allez jusqu’au bout : interdisez le tabac !
Si je comprends bien, monsieur le secrétaire d’État, vous venez de dire que par immobilisme, vous ne voulez rien changer. L’immobilisme est-il à la base de votre politique ?
Seulement parce qu’il s’agit de 4 milliards ?
Cela fait trois ans qu’ils attendent !
Quelle ambition !
Une révolution industrielle !
La dette explose !
Les leçons, ce sont les électeurs qui vous en ont donné !
Madame la présidente, madame la secrétaire d’État, mesdames les rapporteures, chers collègues, nous sommes réunis donc cet après-midi pour traiter de la protection de l’enfant et je me réjouis que notre assemblée se saisisse de ce sujet car l’attente est forte. Il est bon que nous nous penchions régulièrement sur un tel sujet.Ce texte vient malheureusement un peu tardivement. Il aura fallu huit ans pour qu’il s’inscrive dans la suite de la loi du 5 mars 2007 et de la loi du 4 juillet 2005 portant réforme de l’adoption proposée à l’époque par Michèle Tabarot et moi-même. En dépit de ses bonnes intentions, le texte reste malheureusement insuffisant ...
C’est ce qui s’appelle remettre les pendules à l’heure !
Exact ! Alors acceptez nos amendements !
Vous étiez contre tout !
Donnez-lui les bons chiffres !
Il manque en effet la puissance quatre !
Très juste.
Il est plus facile de s’attaquer aux notaires qu’aux taxis !
Très bien !
Baratin !
Quel baratin !
Ce ne sont que des mots !
Cela n’avait rien à voir !
C’est vrai !
Mais payées par qui ?
Monsieur le ministre, monsieur le rapporteur, tout à l'heure vous avez donné deux arguments à l'appui de votre texte.En ce qui concerne le premier – redonner du temps aux parlementaires pour être plus présents –, nous avons essayé de vous démontrer qu'il ne tenait pas dans la mesure où vous leur permettez de conserver des mandats tels que ceux de conseiller général ou de conseiller régional, et nous avons aussi réussi à vous démontrer que ce n'était pas le cumul qui empêchait les parlementaires d'être présents.Vous avez aussi développé un deuxième argument sur « le mélange des genres » que constituerait le cumul d'un mandat national et d'un ...
Nous n'avons pas parlé de ça ! Hors sujet !
Vous êtes en train de reconnaître la magouille !
Elle a triché !
Elle a triché !
C'est pourtant une réalité !
Si vous êtes si sûre de vous, faites revoter !