Les amendements de François Rochebloine pour ce dossier

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Ma question, à laquelle j’associe l’ensemble de mes collègues du groupe UDI – et tout naturellement son président –, s’adresse à M. le ministre de l’agriculture, de l’agroalimentaire et de la forêt. Dans quelques jours s’ouvrira, Porte de Versailles, le 54e salon de l’agriculture, rendez-vous éminemment politique qui verra sans nul doute défil...

Monsieur le Premier ministre, « à Alep, ce que l’humanité fait de pire est devenu la norme » : telle est la réaction d’un survivant du massacre de Srebrenica aux atrocités commises à Alep. Cet homme a connu l’horreur, les pires abominations qu’un être humain puisse commettre : c’était il y a seulement vingt et un ans. L’Union européenne, impuis...

Ma question s’adresse à M. le ministre de l’agriculture. J’y associe mes collègues Yannick Favennec, Thierry Benoit et, naturellement, l’ensemble des membres du groupe UDI. En 2012, le candidat François Hollande s’était engagé à améliorer le niveau des pensions versées aux anciens agriculteurs, en faisant appel à la solidarité nationale. En 20...

Mais la dépense correspondante a été mise à la charge du régime des retraites complémentaires obligatoires agricoles. Or vous le savez, monsieur le ministre, la pérennité financière de ce régime est menacée. Ses réserves seront épuisées à la fin de cette année. Si rien n’est fait rapidement, d’ici un an, il sera déficitaire de 120 millions d’eu...

Aussi, monsieur le ministre, quelles dispositions comptez-vous prendre pour que le financement des revalorisations des petites retraites agricoles soit assuré sans imposer une charge nouvelle à la profession agricole ?

Monsieur le Président, monsieur le Premier ministre, comme vient de le rappeler Jean-Noël Carpentier, ce lundi 17 octobre sera la journée mondiale du refus de la misère, reconnue par l’ONU et instituée à l’initiative du père Joseph Wresinski, fondateur d’ATD Quart Monde. C’était à Paris, en 1987, sur le parvis du Trocadéro, en présence de plus ...

Monsieur le Premier ministre, le 18 mai dernier, notre groupe de l’UDI vous demandait un débat sur l’accord relatif aux réfugiés passé entre l’Union européenne et la Turquie. Cet accord, nous l’avons dit, insuffisant pour apporter une vraie réponse à la crise migratoire, est dangereux pour l’Europe. Il est dangereux parce qu’il relance le proce...

Monsieur le ministre des affaires étrangères, Angela Merkel, Donald Tusk et Frans Timmermans étaient en Turquie samedi dernier pour y rencontrer Ahmet Davutoglu, le Premier ministre turc, afin d’évoquer la crise migratoire et l’accord signé entre la Turquie et l’Union européenne. Disons-le clairement, cette visite avait surtout deux objectifs ...

Monsieur le Premier ministre, le sommet extraordinaire qui s’est tenu lundi entre l’Union européenne et la Turquie a acté un triple renoncement, d’une gravité sans précédent : celui d’une Europe qui renonce au droit d’asile en refoulant les migrants faute d’avoir su s’accorder sur une politique migratoire et sécuritaire commune ; celui d’une Eu...

Je sais qu’il va très bien et qu’il nous regarde cet après-midi. Monsieur le Premier ministre, M. le ministre de l’agriculture a affirmé, ce matin, qu’il devait désormais « convaincre les libéraux de la nécessité de réguler ». Avec la venue au salon de l’agriculture du commissaire européen Phil Hogan, il aura donc tout à l’heure l’opportunité ...

Alors oui, monsieur le Premier ministre, la suppression des quotas laitiers a été mal anticipée. Mais, plutôt que de se dissimuler inlassablement derrière l’argument désormais bien connu du « C’est pas ma faute ! », vous avez les moyens d’agir.

La suppression des quotas laitiers profite aujourd’hui à de nombreux industriels, peu scrupuleux, qui n’hésitent pas, eux, à s’entendre sur les prix ! Ce sont eux qu’il faut responsabiliser car ils ont, en grande partie, remodelé notre agriculture, l’entraînant dans une crise désormais durable. Le producteur ne doit pas être l’unique variable ...

Madame la garde des sceaux, dimanche matin, deux surveillantes de prison ont été victimes d’une tentative d’assassinat sur le parking du centre pénitentiaire de Meaux-Chauconin, en Seine-et-Marne. Un véhicule les a délibérément renversées, avant de prendre la fuite. Nous adressons bien évidemment nos pensées aux deux victimes et à leurs famill...

Depuis plusieurs semaines, le groupe de l’Union des démocrates et indépendants n’a cessé de vous interpeller sur la crise sans précédent que traversent nos agricultures.

Cette crise touche à la fois les producteurs de viande bovine et de porc mais aussi de lait. Alors que les coûts de production ne cessent d’augmenter, les pressions que la grande distribution exerce sur les prix sont devenues insoutenables pour nos éleveurs.

Plus qu’un enjeu économique, la crise de l’élevage représente aujourd’hui un enjeu social de grande ampleur pour notre pays. Les revenus agricoles ne cessent de chuter, plongeant des milliers d’agriculteurs dans une détresse professionnelle et personnelle. Les réponses apportées par M. le ministre Le Guen sont méprisantes. Entendez le désespoir...

La semaine dernière, en réponse à notre collègue François Sauvadet, votre ministre de l’agriculture s’est lui-même déclaré dans l’impossibilité d’agir directement. Certes, l’État ne peut pas tout, mais il dispose tout de même d’outils suffisants pour faire respecter des accords qui, jusqu’ici, ont été bafoués par la grande distribution.

À la veille de la pause estivale, monsieur le Premier ministre, il faut une réponse forte. Le groupe UDI vous demande solennellement d’organiser un débat sur la situation que vit le monde agricole, et ce avant la fin de la présente session extraordinaire.

Le Sénat, quant à lui, a pris l’initiative d’une grande conférence agricole qui aura lieu demain en présence de tous les acteurs concernés.

Face à une crise aussi violente et déterminante pour l’avenir de notre pays, chacun doit être prêt à travailler main dans la main pour sortir de l’ornière. Le groupe UDI monsieur le Premier ministre, est prêt à relever ce défi. Il ne tient plus qu’à vous d’accepter cette main tendue et de passer de la communication à l’action !