Vous ne faites rien pour les familles !
Avec qui avez-vous négocié les 35 heures ?
Exactement !
Réglez d'abord les vôtres !
Ça vous gêne, la vérité ! Ça vous gêne !
Ma question s'adressait à M. le Premier ministre, mais je vois qu'il est déjà parti ; je voulais donc la poser à M. le ministre de l'économie et des finances, qui n'est malheureusement pas présent… (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.) J'espère néanmoins qu'il se trouvera un ministre pour me répondre.Je souhaiterais appeler l'attention du Gouvernement sur un grave problème qui touche les travailleurs frontaliers, lorrains et alsaciens en particulier, ayant exercé l'essentiel de leur activité en Allemagne. J'associe à ma question mes collègues députés mosellans et alsaciens, avec lesquels nous avons travaillé ces dernières années pour tenter de ...
Aujourd'hui, le constat reste sans appel : nos ex-travailleurs frontaliers ne bénéficient en aucune façon des souplesses fiscales accordées à leurs homologues allemands. Ce constat est d'autant plus grave qu'il est contraire à l'esprit et au bon sens de la convention fiscale franco-allemande de 1959.
Bon nombre de personnes visées, souvent des veuves, se retrouvent en grande difficulté, car leur situation financière ne leur permet en aucune manière de s'acquitter des sommes réclamées. Je souhaiterais donc savoir quelles sont les solutions proposées par le Gouvernement. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
Il n'y a que dans le mariage qu'il n'y a pas de parité !
Ce sera retoqué !
Ce n'est pas possible !
C'est moins sûr !
En lisant cet article, dont nous souhaitons la suppression, je me disais qu'au motif de l'égalité et de la lutte contre les discriminations, vous créez des discriminations. Vous êtes, avec ce texte, en train de créer une usine à gaz, car sur le fond comme sur la forme vous faites défaut. Nous avons, au sein de l'opposition, d'éminents juristes. (Rires sur plusieurs bancs du groupe SRC.) Ils ont démontré qu'ils avaient des arguments. Nous aurions pu les mettre à votre disposition pour mieux échafauder ce texte.J'ai envie, sous forme d'humour, de vous faire une proposition. Puisque vous êtes constamment obligés de prévoir des dispositifs particuliers – à ...
Pour éviter toutes ces discussions, retirez ce texte qui n'a pas de raison d'être. C'est une fausse révolution.