Ces jeunes, nous les rencontrons un peu partout. Nous connaissons leur situation. Que nous disent-ils ? De quoi ont-ils besoin ? D'abord, d'une première expérience professionnelle, mais aussi que nous leur donnions de la durée, de la formation. Ils ont besoin que nous leur donnions des perspectives.
Monsieur le ministre, pouvez-vous nous dire dans quelle mesure ces emplois d'avenir vont, rompant avec les cataplasmes sur des jambes de bois, se révéler enfin une vraie proposition, assurer un vrai avenir, réconcilier ces jeunes et leurs familles avec la formation acquise, les équiper enfin pour pouvoir ensuite occuper un emploi durable ? Telle est en tout cas l'ambition que nous soutenons. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)
C'est ça le débat de fond ?
Il ne nécessite donc pas des mois de préparation et d'examen préalable. Je salue le travail réalisé par notre rapporteur.
Redonner de l'espoir dans un environnement extrêmement anxiogène nous permettra de trouver, là encore, les éléments du rebond auquel le Gouvernement nous appelle.Un élément supplémentaire a été peu évoqué : l'ensemble des emplois qui seront créés permettront également de distribuer du pouvoir d'achat, et renforceront la capacité à participer à la dynamique de l'ensemble de la sphère économique.Je pense que nous avons aussi besoin d'imaginer ces dispositifs dans un ensemble ayant pour objectif de remobiliser toutes les forces vives de ce pays.Messieurs les ministres, vous l'aurez compris – et ce n'est pas une surprise – le soutien des ...
Qu'est-ce que serait si ce n'était pas constructif !
Messieurs les ministres, monsieur le rapporteur, madame la présidente de la commission, chers collègues, ce projet de loi constitue l'un des premiers actes forts de ce Gouvernement. S'il en est ainsi, c'est que la situation à laquelle nous sommes confrontés est particulièrement grave, personne ne peut l'ignorer, et elle se traduit d'abord par un taux de chômage très préoccupant dans notre pays.C'est pourquoi le Gouvernement a annoncé, au-delà du texte que nous allons voter, un dispositif d'ensemble cohérent afin de lutter contre le chômage ; mais s'il a choisi de commencer sans attendre par l'emploi des jeunes, c'est parce qu'un jeune sur quatre est ...
Il l'avoue dès l'ouverture !
C'est vous qui êtes caricatural !
Le monde entier ! Voyez-vous ça !
Il fallait y penser avant ! Ça fait dix ans que vous les laissez filer !
C'est cela qu'il faut combattre !
Ce n'est pas le sujet !
Ils l'ont caché !
À qui la faute ?
Elle a surtout connu un dynamisme important à partir de 2009, c'est-à-dire sous la responsabilité du précédent gouvernement – vous verrez que je ne fais pas cette remarque sans raison.
La seconde cause identifiée tient au mode de facturation hospitalière, comme indiqué dans le rapport que j'ai rédigé avec Claude Goasguen.
Cette base de tarification étant assez élevée, certains établissements en ont parfois un peu abusé…
Mais là encore, rien de ce que vous nous proposez dans les trois articles de votre proposition de loi ne permet de corriger cette difficulté connue, que le Gouvernement traitera dans le cadre de sa réflexion générale sur l'hôpital.
Non, c'était le respect d'un engagement !
Qui était inefficace !
C'est faux ! Les chiffres sont dans le rapport !
On va y revenir !
Sur les 5 % de dossiers douteux ! Allez jusqu'au bout !
Ce que vous dites est scandaleux !
Nous y sommes allés aussi, avec Claude Goasguen !
Et la tuberculose ?
Ce n'est pas possible !
Je salue également l'impulsion de la présidente de la commission des affaires sociales. J'en profite pour dire que les propos tenus tout à l'heure par notre collègue Denis Jacquat étaient pour le moins déplacés.
Christophe Sirugue La parole est à M. le rapporteur général de la commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire.
Christophe Sirugue La parole est à M. le président de la commission des finances, de l'économie générale et du contrôle budgétaire.
Christophe Sirugue J'ai reçu de M. Christian Jacob et des membres du groupe de l'Union pour un mouvement populaire une motion de rejet préalable déposée en application de l'article 91, alinéa 5, du règlement, sur le projet de loi de programmation des finances publiques.La parole est à M. Hervé Mariton.
Christophe Sirugue La parole est à M. le ministre délégué.
Christophe Sirugue Dans les explications de vote, la parole est à M. Étienne Blanc, pour le groupe de l'Union pour un mouvement populaire.
Christophe Sirugue La parole est à M. Thierry Benoit, pour le groupe Union des démocrates et indépendants.
Christophe Sirugue La parole est à M. Éric Alauzet, pour le groupe écologiste.
Christophe Sirugue La parole est à M. Pierre-Alain Muet.
Christophe Sirugue J'ai reçu de M. Christian Jacob et des membres du groupe de l'Union pour un mouvement populaire une motion de rejet préalable, déposée en application de l'article 91, alinéa 5, du règlement, sur le projet de loi de finances pour 2013.La parole est à M. Yves Censi.
Christophe Sirugue La parole est à M. le ministre délégué.
Christophe Sirugue Nous en venons aux explications de vote.La parole est à M. Étienne Blanc, pour le groupe de l'Union pour un mouvement populaire.
Christophe Sirugue La parole est à M. Thierry Benoit.
Christophe Sirugue Cher collègue, veuillez conclure.
Christophe Sirugue La parole est à M. Éric Alauzet.
Christophe Sirugue La parole est à M. Dominique Baert.