On l'a vu pendantr dix ans !
Je le retire.(L'amendement n° 8 est retiré.)
Je le retire également.(L'amendement n° 392 est retiré.)(L'article 16 est adopté.)
De mémoire, il y a quand même eu un décret particulier pour Icade.
On ne peut pas accepter cela, ni hier ni aujourd'hui, d'autant qu'à l'époque, le ministre Woerth, qui avait reçu une délégation de l'Association des maires d'Île-de-France, s'était engagé à une compensation totale. Les communes ne sont pas concernées par la vente et n'ont pas à être pénalisées par celle-ci. Il faut peut-être se revoir à ce propos, madame la ministre.Par égard pour mes collègues, je ne peux retirer cet amendement, dussé-je être le seul à le voter. Sur le fond, le problème n'est pas réglé.(L'amendement n° 7 n'est pas adopté.)(Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)
Ah ! Le maire de Versailles !
Allons ! C'est le métier qui rentre !
Il n'y a qu'à naturaliser tous ces étrangers : ils seront Français !
Et ce n'est qu'un début !
Madame la présidente, monsieur le ministre, monsieur le rapporteur général, mes chers collègues, la commission des affaires économiques m'a fait l'honneur de me désigner comme rapporteur pour avis sur les crédits de la politique de la ville, et il ressort des auditions que j'ai pu mener une grande satisfaction.Ce projet de loi de finances, le premier de notre législature, représente un effort sans précédent en matière de péréquation entre les territoires.La décision du Gouvernement d'accompagner la montée en puissance du Fonds national de péréquation des ressources intercommunales et communales à hauteur de 350 millions d'euros et du Fonds de ...
Et que disait alors M. de Courson ?
Je confirme ce que vient de dire Paul Giacobbi : il n'y a pas de volonté de la part des Corses d'échapper à l'impôt, même si certains ont pu le penser. Au contraire, ils veulent rentrer dans le droit commun. Pour des raisons historiques, depuis 1802, les droits de succession étaient traités différemment en Corse grâce à M. Miot. J'anticipe ce que va dire Charles Amédée de Courson : j'ai commencé ma carrière d'inspecteur des impôts à Calvi, c'est donc un sujet que je connais un peu.
Oh, ça suffit !
À Neuilly aussi, il faut construire !
Ça, c'est vrai.
Ça va venir !
Au bout de dix ans, il était temps !
Fait personnel !
On s'arrêtera quand il n'y aura plus rien à détricoter !
Vous avez fait ça pendant dix ans !
Dans son rapport sur la politique de la ville, la Cour des comptes note que le financement de l'ANRU, l'Agence nationale pour la rénovation urbaine, n'est pas assuré pour l'année 2013, et a fortiori pour les années suivantes. Or tout le monde s'accorde à juger nécessaire le lancement d'un deuxième plan national de rénovation urbaine, doté de crédits comparable au premier, soit 40 milliards d'euros, dont 7 à 8 milliards à la charge de l'État. Quelle est votre vision des besoins de financement dans le domaine du logement, notamment du logement social ?
Oui ! Avant la fin de l'année 2012 …
Je suis en effet tenté de le maintenir, quitte à le rectifier en séance.
C'est un expert qui parle !
On ne peut pas tout laisser dire ! Nous étions un certain nombre, mon cher collègue, à avoir tenté de vous convaincre, lors de la précédente législature, que pour lutter contre l'occupation illicite des cages d'escalier, vous n'en faisiez pas assez.
Le Président de la République l'avait promis, mais vous avez échoué ! Vous nous parlez des jeunes qui squattent les escaliers, mais vous avez échoué !
Ayez au moins la décence, après dix ans d'échecs en matière de sécurité, de nous laisser arriver, et faire ce qu'il faut (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC), et laissez le ministre de l'intérieur, Manuel Valls, mettre en oeuvre la nouvelle politique gouvernementale. Rendez-vous dans quelques mois et quelques années pour en faire le bilan.
Je rappellerai, notamment à nos jeunes et nouveaux collègues (Sourires),…
Il y a donc bien longtemps que les municipalités et les associations ont créé des crèches en pied d'immeuble. Votre amendement prévoit des dispositions déjà en vigueur.
Ce n'est pas le lieu ni le sujet !
Nous ne sommes pas fatigués !
Vous êtes fatigué ?
Vous n'avez rien compris !
L'amendement, c'est quoi ?
On sait, on vit avec depuis cinquante ans !
On va dans le bon sens. Le Sénat a voté. Il faut que les CDT soient compatibles avec le SDRIF. On essaie de rendre ces procédures les plus sûres possibles.Il y a quand même un vide juridique concernant certains CDT qui sont sur le point d'être signés, ne sont pas compatibles avec le SDRIF 2008, mais sont compatibles avec le document actuellement étudié à la région Ile-de-France et seront donc compatibles avec le SDRIF 2013 !Nous avons en effet travaillé avec la région Ile-de-France pour rendre ces CDT compatibles avec le SDRIF 2013. Or, si ces CDT sont signés maintenant, un recours dirigé contre eux risquerait de faire tomber tous leurs actes de procédure.
Je sais qu'il est tard, madame la présidente, et que nous sommes tous très fatigués, car nous avons siégé pendant quelques nuits.
Nous sommes en train de voter une loi. J'ai, pour ma part, besoin d'obtenir des réponses ! Je ne suis pas sûr que l'amendement que l'on vient de voter à l'article 15 sécurise les CDT en cours. On ne s'amuse pas !
Ce sont des milliards d'euros d'investissements ! Le Gouvernement peut-il nous répondre ? L'amendement qui vient d'être voté sécurise-t-il…
Faute d'avoir obtenu une réponse, je considère que le Gouvernement ne sécurise pas les CDT. Je dépose, en conséquence, un autre amendement qui, je le pense, sécurisera les CDT signés avant le 31 décembre 2013.
Cela rassurera tous ceux qui travaillent depuis un an ! (« Bravo ! Très bien ! » et applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
François Pupponi, rapporteur pour avis de la commission des affaires économiques pour la ville
François Pupponi Il a tort !