Le travail, il est dans les entreprises !
Mettez-les en apprentissage !
Pour ne pas dire des anges !
Poser des questions, ce n'est pas chipoter ! Nous avons bien le droit de nous renseigner, tout de même !
Il a donc suffi de 1 000 postes pour corriger les effets de 80 000 suppressions !
C'est tout simplement que nous avions très bien préparé cette rentrée !
Pour l'instant, on n'a rien vu !
Une fois de plus ! (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)
Depuis juillet, vous avez eu le temps de prendre le temps !
Peut mieux faire !
N'oubliez pas ce qui s'est passé avant, avec Jospin !
Ce n'est pas clair du tout…
C'est tout de même important !
Et les cavaliers budgétaires ?
Ça ne suffit pas !
Ma question s'adresse à monsieur le Premier ministre. (« Ah ! » sur les bancs du groupe UMP.)Monsieur le premier ministre, ma question s'adresse à vous car elle concerne un certain nombre de ministères au sein de votre gouvernement. Elle concerne les ministres en charge de l'éducation nationale, de l'intérieur, de la justice, de la politique de la ville, des droits des femmes, et bien d'autres.Cette question, récurrente et grave, inquiète nos concitoyens. Elle ne date pas d'hier. Il s'agit de la violence au sein de l'école.Elle ne date pas d'hier : je n'aurai donc pas le mauvais goût d'en rendre responsable le Gouvernement que vous dirigez. De même, je suis certain ...
…comme si la violence avait débuté juste avant l'entrée en fonction de votre Gouvernement.
Ah bon ?
Justement, ce sont des engagements de campagne !
La potion est amère !
C'est faux !
C'est faux !
Monsieur le président, monsieur le ministre, monsieur le rapporteur de la commission spéciale, mes chers collègues, les propos qu'il nous est donné d'entendre aujourd'hui sont plutôt convenus et consensuels. Tout le monde semble se prêter à un vote majoritaire, suivant les engagements de certains, et les reniements d'autres.
… était totalement engagée aux côtés du président Sarkozy pour l'adoption du traité européen. L'opposition, elle, était vent debout.
Vous prétendiez la contester mais, au fond, vous saviez pertinemment que vous ne le feriez pas.À l'issue de ce débat, qui ne suscite guère de passions particulières, l'Assemblée nationale votera à une grande majorité cette loi organique. Elle le fera parce que l'opposition d'aujourd'hui – majorité d'hier – est cohérente et persiste dans le courage qu'elle a eu de soutenir la signature par le président Sarkozy du traité que vous avez si longtemps déclaré refuser. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)
C'est notre police à nous !
Ils s'entendent si bien tous les deux !
Il n'y en a pas, de politique !
Vous n'avez rien obtenu ! Zéro !
C'est récurrent !
C'est vrai que c'était un peu accéléré !
Aucune importance, voyons !
Ce n'est pas incompatible !
C'est un raisonnement très laborieux !