Ce n'est pas bien beau comme attaque !
N'insistez pas, il est plus fort que vous !
Un peu plus d'autorité, monsieur le président !
C'est rigolo, ça ! Ce n'est pas sérieux !
Cela ne fait rigoler personne, cela commence à bien faire !
Monsieur le président ! Le temps de parole est dépassé !
Deux minutes, monsieur le président !
Et si on est au sous-sol ?...
Trois millions de chômeurs !
Très bien !
C'est un malin, M. de Courson !
S'agissant de l'isolation thermique des logements neufs et anciens, vous avez déclaré être en pleine négociation avec Mme Cécile Duflot, ministre de l'égalité des territoires et du logement. Pouvons-nous avoir déjà quelques éclaircissements sur l'aide et les créations d'emplois prévues dans ce secteur ?
Comptez-vous poursuivre l'opération « ÉcoWatt Provence Azur » ? Qu'en est-il du filet de sécurité et des projets prévus dans la région Provence-Alpes-Côte d'Azur ?
Monsieur le ministre, je voudrais vous remercier pour votre implication, dès la campagne électorale, dans le dossier du conflit Fralib à Gémenos. Peu de temps après votre prise de fonctions, vous avez reçu les syndicats représentatifs des salariés de cette entreprise afin de leur proposer différentes solutions. Cette attitude a tranché avec celle des mois précédents au cours desquels personne ne les avait reçus. Je voudrais donc vous demander quelle est la situation actuelle de ce conflit qui, s'il ne concerne pas 3 000 salariés comme à Aulnay, touche tout de même 180 salariés sans compter les emplois induits ?
Vous avez, à plusieurs reprises, messieurs, vanté la représentativité et l'implication des syndicats allemands. Mais peut-on comparer le syndicalisme français au syndicalisme allemand ou anglo-saxon ? La France est souvent lanterne rouge en matière de syndicalisme. J'aimerais connaître votre sentiment sur la non-représentation des salariés au sein des conseils d'administration en France et votre analyse sur le devenir du syndicalisme dans notre pays, où une implication forte des syndicats fait défaut. Les organisations syndicales y sont davantage portées sur la négociation que le dialogue.
Vous nous avez laissé des finances en faillite !
Il ne manquerait plus que ça !
Propos scandaleux !
Vous avez perdu les élections !
Ce n'est pas le sujet !
Qu'avez-vous fait en dix ans ?
Quelle élégance !
C'est ce qu'on appelle un zéro pointé !
Et qu'avez-vous fait ?
C'est n'importe quoi !
C'est vraiment n'importe quoi !(Les amendements nos 52 et 53, successivement mis aux voix, ne sont pas adoptés.)
Il s'écoute parler !
Nous ne sommes pas à Albi !
La vérité les blesse !
Arrêtez-le, monsieur le président ! Il tourne en rond !
Ma question s'adresse à M. le ministre des affaires étrangères.Vendredi 19 octobre, le Liban a renoué avec la violence. Une voiture piégée a explosé à Beyrouth, dans le quartier d'Achrafieh. Je voudrais tout d'abord adresser mes condoléances aux familles des victimes de cet acte terroriste et barbare et y associer l'ensemble de mes collègues. (Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe SRC.)L'attentat a causé la mort de dix personnes et a fait plus de cent blessés. Le chef des forces de sécurité intérieure du pays, le général Wissam El Hassan, a été tué dans l'opération. C'était un homme entièrement dévoué à son pays, à sa stabilité, à sa ...
Vous l'avez niée pendant dix ans !
Je crains, si Bruxelles acceptait le projet, qu'elle ne vous impose de licencier les équipes actuelles pour en embaucher de nouvelles. Partagez-vous cette crainte ?
Ma question s'adresse à M. Appia. Les investisseurs qataris ont décidé d'investir en France dans les quartiers dits sensibles. Le Gouvernement a donné son accord à un projet de fonds d'investissement à destination des entreprises de ces quartiers. Ce type de partenariat public-privé va-t-il dans la bonne direction ?