Vous avez agi pendant dix ans, tout de même !
On est là pour ça !
Nous n'avons rien contre l'apprentissage !
Dites-le à l'UMP !
Le ministre du travail a beaucoup d'imagination !
Eh oui, monsieur Apparu !
Ce n'est pas vous qui allez nous donner des leçons !
C'est gentil d'y penser maintenant !
C'est une excellente argumentation !
C'est bien pour cela qu'il est ministre !
La ville se construit sur la ville !
Ça leur apprendra ; c'est exactement pour cette raison que nous avons renforcé les pénalités !
Pourquoi n'avez-vous rien fait depuis 2000 ?
Si c'était le cas, nous ne serions pas majoritaires au Sénat !
Mais c'est incroyable d'entendre cela, croyez-vous que nous n'en sommes pas conscients ?
On a bien vu en cinq ans ce qu'est devenue votre promesse d'augmenter le pouvoir d'achat !
Mais c'est bien sûr !
Nous allons changer de musique !
Après le bon bout, voici le mauvais bout !
Ces propos sont scandaleux !
Il en redemande !
Parce que nous ne respectons pas la démocratie ? C'est extraordinaire !
Enfin des obligations européennes !
Et le déficit !
Vous dites cela maintenant que vous êtes dans l'opposition !
Dommage !
Et les consommateurs, vous y pensez ?
C'est pour diminuer la consommation que vous avez fait ça !
C'est vrai !
Avec l'article 1er, nous posons une première pierre afin de mettre la justice au coeur de notre fiscalité. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)
Il n'y a pas si longtemps, le ministre du budget rappelait que notre Constitution exigeait une fiscalité juste, reposant sur la capacité contributive de chacun de nos concitoyens. C'est ce que nous faisons lorsque nous supprimons 12 milliards d'impôts qui touchent l'ensemble de nos concitoyens et qui pénalisent la consommation.
Pour masquer cette réalité, vous avez à coeur de revenir sur la question de la détaxation des heures supplémentaires. Je rappelle que nos collègues Gorges et Mallot ont rédigé un rapport démontrant que cette mesure favorisait principalement les hauts revenus.
Et puis, à vous entendre, on finirait par croire que cette TVA dite sociale, ou anti-délocalisation, ne touche que les produits importés ! Il n'en est pourtant rien : lorsque vous la faites passer de 19,6 à 21,2 %, cela touche tous les produits, qu'ils soient importés ou non.
Quant au coût du travail, il est pour le moins curieux que vous ayez attendu la fin de la législature pour vous en préoccuper ! Pour notre part, nous prendrons le temps de nous pencher sur cette question, puis nous mettrons en oeuvre les mesures qui s'imposent. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)
Ne confondez pas votre personne avec les Français !
L'excellente Pascale Crozon !
C'est intéressant ce qu'elle dit !
Elle a raison !
On compte sur vous, madame la garde des sceaux !
Ils ont lu avec attention de Closets !(M. Christophe Sirugue remplace M. Claude Bartolone au fauteuil de la présidence.)
Vous n'en prenez pas le chemin !
Ce n'est pas du tout ce que l'on a dit !