Pour moins de service rendu aux Français ! Dites-le !
Le service public, c'est le patrimoine de ceux qui n'en ont pas !
Quelle belle vision du monde !
C'est sûr que Mme Bettencourt était plus sympathique !
Changez d'entourage, ça vous fera du bien ! (Rires sur les bancs du groupe SRC.)
Quelle belle histoire ! Les belles histoires d'Amédée de Courson !(L'amendement n° 485, repoussé par la commission et le Gouvernement, n'est pas adopté.)
Parce que vous « testez » les salariés, vous ?
Que n'en avez-vous construit pendant dix ans !
Ce qui est scandaleux, c'est qu'il y ait autant de personnes dans la rue !
Qu'est-ce que vous avez fait pendant dix ans ?
Il en faudrait un deuxième ?
Qu'avez-vous fait pendant toutes ces années ?
Quelques correctifs !(Les amendements nos 181 rectifié, 182, 183, 184, 185, 186, acceptés par le Gouvernement, sont successivement adoptés.)(L'article 17, amendé, est adopté.)
J'ai apprécié, madame la ministre, la présentation très volontariste de votre action à venir. En parallèle, je me dois de dire l'étonnement constant dans lequel me plonge une droite qui ne se préoccupe de certaines catégories socioprofessionnelles que lorsqu'elle n'est pas aux affaires – ainsi s'inquiète-t-elle maintenant de la situation des intermittents du spectacle, qui n'ont pourtant jamais autant souffert qu'au cours de la décennie écoulée. Entendez-vous rouvrir le débat sur la pérennisation du statut des intermittents du spectacle et revenir sur les modifications intervenues ces dernières années, qui ont conduit à une précarisation telle que ...
La priorité, c'est le logement.
Monsieur le président, madame la ministre, mes chers collègues, si aujourd'hui nous vivons, c'est une banalité de le dire, dans une société de l'information permanente, où l'instantanéité et l'anecdote prennent le pas sur la mise en perspective et l'analyse, la presse écrite tient toujours un rôle important dans notre pays et représente aussi une part importante des aides de l'État.Albert Camus disait qu'un journal est la conscience d'une nation. Voilà bien longtemps que nous avons fait le choix collectif de ne pas laisser ce sujet en jachère. Aujourd'hui moins qu'hier, ajouterai-je à la lumière de ce projet de budget.Pourtant, face à l'évolution des ...
À nous donc de répondre, encore une fois, à cette situation de crise, tout en posant les jalons d'une politique ambitieuse, imaginative et refondatrice. En cette matière aussi, cela changera un peu.Beaumarchais, en homme de lettres, mais aussi en journaliste de son temps, disait que « la difficulté de réussir ne fait qu'ajouter à la nécessité d'entreprendre » Vous l'aurez compris, c'est ce que, dans cette assemblée, nous avons décidé de faire depuis plusieurs mois. Je parle en tout cas de la nouvelle majorité.Entreprendre pour quoi ? Entreprendre pour repenser les aides à la presse écrite dans leur ensemble dans une logique de meilleure répartition des ...
Cet exemple démontre par l'absurde la manière dont ces aides, construites à une autre époque, ont été en partie détournées de leurs objectifs et ont perdu leurs fondements premiers. Au nom de l'égalité et à force de conservatismes corporatistes, l'équilibre entre presse d'information et presse récréative s'est rompu, mettant en danger ceux-là mêmes que ces politiques d'aide devaient protéger. « Gouverner, c'est choisir », disait Pierre Mendès-France. Arrêter une ligne politique en matière d'aide à la presse passe sans nul doute par un ciblage des priorités et des aides : selon moi, il est clair que ces aides doivent aller de façon prioritaire à la ...
Je me joins aux félicitations adressées à Mme la ministre. Merci, madame, d'avoir lancé ce grand chantier. L'ouverture du mariage à tous les couples fera progresser l'égalité et la justice dans notre pays qui, je l'espère, sera suivi par d'autres. Je voudrais profiter de ce moment historique pour dénoncer que la ligne rouge ait, hélas, été déjà souvent franchie. Nous sommes submergés de courriers et courriels au contenu obscurantiste, pour ne pas dire davantage, qui devraient faire honte à leurs auteurs. Je crains que ces dérives, qui ne sont certes pas majoritaires, ne s'accentuent dans les semaines à venir. Est-il prévu un observatoire du débat qui va ...
Madame la ministre, mesdames et messieurs, chers collègues, nous le savons tous : les associations qui oeuvrent dans notre pays contribuent fortement à faire vivre notre citoyenneté. Elles participent au premier titre à la vie de nos villes, de nos territoires et de nos quartiers. Ceux qui les animent bénévolement y mettent énergie, enthousiasme, engagement et passion.Avec 12 à 14 millions de bénévoles qui font vivre plus d'un million d'associations dans des domaines aussi variés que la solidarité, le sport ou la culture, notre pays ne peut que s'enorgueillir de cette vitalité. Celles et ceux qui s'engagent dans ces associations doivent en effet être reconnus ...
Vous l'avez rappelé, madame la ministre !Il faut aussi rappeler qu'entre 2008 et 2012, le précédent gouvernement a réduit de 36 % les crédits alloués au secteur associatif.
Je sais que la mémoire vous manque parfois. Mais que dire du sort qui a été réservé à des associations aussi fondamentales que le planning familial ou aux centaines de structures oeuvrant dans le domaine médico-social ? Le bilan reste à faire.Ne nous mentons pas : les acteurs du monde associatif ont moins besoin d'une médaille que de moyens pour faire vivre leurs associations. Ce sont des femmes et des hommes engagés, animés par une vraie flamme et qui veulent avant tout des moyens pour mener à bien les projets collectifs qu'ils portent et essaient de pérenniser, année après année. Force de constater que vous ne les avez pas toujours aidés.
La meilleure reconnaissance que l'on puisse offrir aux bénévoles, ce sont des ressources renforcées pour leurs projets, du respect pour leur investissement et de l'attention pour leur engagement.
Par ailleurs, je m'étonne des critères proposés pour l'attribution de cette médaille, qui semblent méconnaître le fonctionnement associatif et la nature même de l'engagement bénévole. Selon quelle étrange logique peut-on réduite la qualité d'un engagement bénévole au seul critère de l'ancienneté ? Comment mettre en valeur la jeunesse bénévole ? Comment la stimuler ? Comment valoriser la qualité de l'investissement qui n'est pas toujours linéaire ? Bref, pour bien connaître le monde associatif, je serais tenté de vous dire que cette idée n'est tout simplement pas opératoire.Enfin, je vous avouerai que je ne vois pas l'opportunité de cette loi alors ...
Alors, plutôt que ces propositions de façade, menons ensemble une politique qui réponde véritablement aux attentes des associations. C'est ce que le Gouvernement et la majorité veulent pour le tissu associatif et ses bénévoles. D'abord, il faut renforcer le partenariat entre l'État et les associations, pour répondre au plus près aux attentes des acteurs associatifs. Ensuite, il convient d'étudier la création d'un congé d'engagement bénévole pour permettre à ceux qui le souhaitent de s'engager dans une association.
Vous le voyez, les associations seront largement mises à l'honneur au cours de cette législature – soyez-en assurés –, pas simplement pour nous faire plaisir, mais parce que pour nous, elles sont essentielles et au coeur de beaucoup de nos valeurs républicaines.Nous agirons sans démagogie, dans un esprit de concertation, dans une démarche respectueuse visant à chaque fois à l'accompagnement des projets, à l'encouragement des bénévoles et à la facilitation des tâches qu'ils ont choisi d'assumer. Vous pouvez compter sur nous pour y être très attentifs. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)
Si cet amendement permet d'informer les clients en cas d'incident de paiement, il a une autre vertu, c'est d'avertir l'établissement bancaire, car les conséquences ne sont pas les mêmes pour un incident isolé et pour une cascade d'incidents. Or, je le sais d'expérience, le client, surtout lorsqu'il est en situation fragile, a souvent en face de lui un agent bancaire n'ayant pas conscience qu'il y aura rapidement une cascade d'incidents et que les choses vont se dégrader de façon accélérée.Quinze jours, c'est assez pour créer ou aggraver une situation de précarité dont les familles ne peuvent plus se sortir. Un tel avertissement revêt donc un caractère ...
Vous le verrez au printemps !
Qui a créé le Rassemblement-UMP ?
Non ! Pas tous les Français !
Cinq mille amendements !
Absolument !
Il n'y a qu'une légitimité : celles des urnes !
Tant mieux !
Arrêtez avec vos fantasmes !
Il s'améliore d'heure en heure !
Envoyez un chèque !
Il s'agit seulement d'offrir le choix !
Cela faisait longtemps !
Il suffit de regarder le groupe !
Le Figaro n'écrit pas nos lois !
On attend Mitterrand avec impatience !
C'est inquiétant !
Cela baisse, cela baisse ! L'étau se resserre !
Lisez le Figaro !(L'amendement n° 4029 n'est pas adopté.)