C'est faux !
C'est rien !
Et sans tarder !
Mme Merkel appréciera !
L'espoir fait vivre !
« Camarades, les faits sont têtus ! » disait Lénine.
Pourquoi continuez-vous cette politique folle qui consiste à étendre au continent européen ce qui a échoué en Grèce ? Car c'est bien la même politique que celle appliquée dans ce pays que vous voulez mener à une plus grande échelle.J'ajoute que la politique de croissance que vous revendiquez, et pour laquelle vous avez été élus, exigerait au moins de débloquer 400 à 500 milliards d'euros à l'échelle du continent. Vous le savez d'ailleurs parfaitement, et c'est pourquoi vous prenez vos précautions en engageant un plan d'austérité sans avoir l'air de le faire.
Lors d'une soirée épique dans cet hémicycle, vous avez tous approuvé les statuts extraterritoriaux du MES…
Vous avez approuvé la garantie pour un montant de 140 milliards d'euros apportée par le contribuable français et le versement de 16 milliards…
Elle est condamnée parce que les pays du Sud ne supporteront pas indéfiniment le chaos social et politique que vous leur imposez.
Agira-t-on de manière coordonnée, en recréant un système monétaire européen souple, qui permette à chaque pays d'avoir sa monnaie ?
Je conclus, madame la présidente.La vraie question est celle de savoir combien de temps encore notre pays connaîtra ces fausses alternances. Vous avez fait croire aux Français que vous alliez apporter la croissance et M. Sarkozy avait fait la même chose en 2007 : votre défaite sera liée, comme l'a été la sienne,…
…à la soumission à cette autorité illégitime qu'est Bruxelles. Il faudra bien prévoir une voie alternative, car, aujourd'hui, vous faites la preuve que le vote des électeurs français n'a d'autre résultat que le maintien de la même politique d'austérité, qui aura des conséquences incalculables au plan social et politique.Une autre voie est possible !
Elle mécontentera les Français !
Il faut un référendum !
De toute façon, vous aurez et la rigueur et les déficits !
C'est dérisoire !
Et ça va continuer !
Dix milliards d'euros, ce n'est rien !
Vous allez les imposer en France !
Vous avez cédé !
Je voudrais rappeler la nécessité d'une adéquation entre l'outil de défense et la politique étrangère. Voilà trois ans, M. Hervé Morin, alors ministre de la défense, alertait déjà sur les difficultés rencontrées dans le Sahel, et les membres de la Commission exprimaient leur inquiétude devant le transfert en direction d'Abou Dhabi ou de l'Afghanistan de troupes très utiles en Afrique – même s'il est vrai que les décisions d'emploi reviennent aux pays de la zone. Les coupes que pourrait subir encore la défense nationale suscitent donc encore une certaine inquiétude.Monsieur le ministre, vous m'avez paru très optimiste, la semaine dernière, ...
Concernant le traité budgétaire européen, il est stupéfiant que la France se lie les mains pour mener une politique qui fait, partout, la preuve de son échec : le PIB de la Grèce est en recul de 7 %, celui de l'Italie de 2,5 %, la situation de l'Espagne est celle que l'on sait… Comment peut-on dire que le traité ne signifie pas un abandon de souveraineté et pourquoi, dans le contexte actuel, se précipiter pour le faire ratifier ? Tenir ce calendrier alors que le pays entre en récession est pure folie, mais le Gouvernement s'y oblige, condamnant de ce fait la politique que voulaient ses électeurs, ce qui ne manque pas de surprendre. Comment peut-on ...
C'est mal parti !
C'est le moins qu'on puisse dire !
On s'en est aperçu !
C'est laborieux !
Ce traité, vous ne l'aimez pas !
Avec quelle légitimité politique ?
Mais pas sur les leurs !
Nous sommes sauvés !
Vous ne tarderez pas à déchanter !
C'est loin d'être acté !
Vous auriez pu renégocier le traité en ce sens avant de le signer !
Ils l'ont oublié !
Discours de campagne, oublié le lendemain !
Et la liste va s'allonger !
Ils n'osent pas ! Ils ont trop peur !
C'est une plaisanterie !
Vous allez la tuer, la croissance !
Rendez-vous dans un an ! On verra où vous en serez…