Eh oui ! J'en connais !
Les dispositions en question ont été instaurées en 2000 !
Et votre promesse à tous de devenir propriétaires.
Parce que nous ne sommes pas des contribuables ?
Quelle suffisance !
Parlez-nous de l'Europe !
Nous respectons tous les Français, quels qu'ils soient !
C'est un expert qui parle !
Si la lecture de Marx est très insuffisante, votre intervention est très suffisante !
Cela n'empêche pas de connaître l'histoire !
Nous avons le même objectif, mais nous ne sommes pas sur le même chemin !
Surtout avec la situation que vous nous avez laissée !
Ce n'est pas vrai !
C'est toujours la même !
En France, on ne paye pas pour s'inscrire au lycée !
L'explosion, c'est déjà fait !
Bonne idée !
Nous réparons ce que vous avez fait !
Vous n'en voulez pas, mais vous en voulez plus !
Relisez les textes que vous avez votés !
Ce système existe ; il a pour nom « suffrage universel ».
Où sont-ils, ces moyens ?
Il y a donc urgence, en matière de sécurité aussi, à ce que nos concitoyens puissent ressentir le changement. Le droit à la sécurité doit redevenir une réalité pour tous, partout sur notre territoire.
Tous ceux qui n'ont pas les moyens d'avoir recours à des services privés, c'est-à-dire le plus grand nombre, attendent légitimement de l'État qu'il assume pleinement cette mission régalienne.Pouvez-vous, monsieur le ministre, préciser devant la représentation nationale, les priorités qui sont les vôtres, ainsi que les moyens que vous entendez mettre en oeuvre afin d'améliorer de manière tangible la sécurité des Français au cours de cette législature ? (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC. – « Allô ! Allô ! » sur les bancs du groupe UMP.)
Il n'y en aura pas dans la Constitution !
C'est un expert qui parle !
Très belle intervention !
Madame la présidente, monsieur le ministre, mesdames et messieurs les rapporteurs, mes chers collègues, longtemps, les choses ont pu sembler simples aux yeux du plus grand nombre, s'agissant de la sécurité. Matraqués par des discours à l'aplomb sans mesure, impressionnés par une surdose de méthode Coué, dont l'usage n'eut parfois d'égale que la mauvaise foi de ceux qui l'employaient, touchés par l'exploitation sans limite de l'émotion que peuvent susciter certains faits divers, nos concitoyens ont été un temps convaincus que c'est à droite que se trouvent les experts, ceux qui savent faire et qui ont la volonté et l'autorité nécessaires, presque de manière ...
Cette caricature a vécu, même si d'aucuns sur ces bancs s'essaient encore à l'entretenir, à la manière de vieux artistes nostalgiques de leurs succès d'antan, qui éprouvent les plus grandes difficultés à renouveler leur répertoire.
Cette caricature a vécu, d'abord parce qu'elle est confrontée au bilan de dix années d'exercice du pouvoir. On allait voir ce que l'on allait voir, nous promettait-on. Eh bien les Français ont vu !Alors qu'ils prétendaient agir, nos prédécesseurs se sont surtout agités. En dix ans, pas moins de dix-huit lois ont été proposées à la représentation nationale, qui les a consciencieusement votées. Un fait divers, une loi – la plupart du temps redondante ou inapplicable sur le terrain.
Les 35 heures responsables de tout, toujours et tout le temps ! Heureusement, que vous n'êtes pas remonté jusqu'au Front populaire !
Eh bien, votez-les !
Vous pouviez faire mieux !
Il faut dire que l'exercice était difficile !
Sans parler du talent !
Comme c'est gentil !
Dans l'immense majorité des cas et quelles que soient leurs convictions politiques, les élus de France ne comptent ni leur temps ni leur engagement au service de leurs concitoyens. La vérité est que si l'on calculait le taux horaire de leurs indemnités, chacun pourrait mesurer combien ils sont bon marché.
Autrement dit, quand ça ne peut vraiment pas être de notre faute, c'est celle de la crise ! (Sourires.)
Vous en avez quand même déposé beaucoup…
Vous avez bien compris !
La droite, elle, ne se retire pas !
Bravo ! Nous sommes impressionnés !
Ils n'avaient pas encore commis d'assassinats !
Merci de le reconnaître !
Et ceux des cinq dernières années ?
Oui, avec Mme Le Pen !