Tous les résultats

Affiner par date : entre juin 2012 et juillet 2024

S'abonner aux résultats
de cette recherche

Email
par email
Flux rss
par RSS

Rechercher par législature

Affiner la recherche

Filtrer par type de résultat

Filtrer par député

Résultats 1 à 20 sur 971 triés par pertinence — trier par date

Amendement N° 133 au texte N° 541 - Article 24 quater (Rejeté)

Il y a 5 ans, les pouvoirs publics ont pris des mesures pour d'une part encourager l'usage du bois énergie, et d'autre part enrayer la quasi généralisation d'un marché non déclaré. Le bois énergie recouvre la valorisation du bois en tant que combustible sous toutes ses formes, bûche, sciure, plaquettes, granulés ou bûches de bois densifiées…La loi d'orientation du 5 janvier 2006 a permis d'appliquer le taux réduit de TVA à 5,5 % à l'ensemble du bois de chauffage, qu'il soit à usage domestique ou non domestique, destiné aux collectivités, aux industriels ou aux particuliers.La transition énergétique qui passe par la diversification des sources va bientôt faire l'objet ...

Consulter

Amendement N° 31 au texte N° 410 - Article 1er (Adopté)

Cet amendement vise à ce que l'autorité administrative motive sa décision, après avoir recueilli et analysé les observations du public. Pour éviter des recours abusifs, il prévoit que les motifs retenus par l'autorité administrative ne peuvent faire grief et ne sont donc pas susceptibles d'un recours. Après le mot :«  public »rédiger ainsi la fin de la première phrase de l'alinéa 9 :«  ainsi que, dans un document séparé, les motifs de la décision. ». M. Boudié, Mme Françoise Dubois, Mme Quéré, M. Philippe Martin, M. Arnaud Leroy, M. Bardy, M. Capet, Mme Dombre Coste, M. Caullet, Mme Beaubatie, M. Sauvan, M. Burroni, M. Calmette, M. Noguès

Consulter

Amendement N° 39 au texte N° 410 - Article 7 (Retiré)

Cet amendement garantit que le public, outre sa participation à la préparation des décisions, aura le droit d'être informé des motifs des décisions ayant une incidence sur l'environnement. Compléter l'alinéa 3 par les mots :«  et de préciser les conditions de mise en œuvre du droit des personnes physiques ou morales d'être informées des motifs de ces décisions ». M. Boudié, Mme Françoise Dubois, Mme Quéré, M. Bardy, M. Capet, Mme Dombre Coste, M. Noguès, Mme Beaubatie, M. Burroni, M. Caullet, M. Sauvan, M. Philippe Martin, M. Arnaud Leroy

Consulter

Amendement N° 3 rectifié au texte N° 433 - Après l'article 3 (Adopté)

De nombreux scandales sociaux ou environnementaux et de nombreuses affaires de conflits d'intérêts ont achevé de démontrer la nécessité de rendre les entreprises plus transparentes et plus responsables de leur impact social et environnemental. Le secteur bancaire, qui finance l'économie, est souvent indirectement touché par ces affaires.Or, la réputation et l'exemplarité de la BPI seront des enjeux politiques majeurs pour la gouvernance de la BPI sur lesquels nous nous devons d'être exigeants. Cet amendement entend y contribuer.En premier lieu, cet amendement édicte les principes extra-financiers que la BPI devra s'efforcer d'intégrer dans ses pratiques opérationnelles, en ...

Consulter

Amendement N° 172 au texte N° 403 - Après l'article 17 (Adopté)

En cas de rattachement d'une commune à un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre, sur délibérations concordantes de l'EPCI et de la commune, les taux intercommunaux des impôts directs locaux peuvent être appliqués progressivement sur une durée maximum de douze ans.Toutefois, les modalités de calcul de l'intégration fiscale progressive ne sont pas adaptées au cas des communes déjà membres d'un EPCI à fiscalité propre et sur le territoire desquelles s'applique par conséquent déjà une fiscalité intercommunale. En effet, l'intégration fiscale progressive porte à ce jour sur la totalité du taux d'imposition de l'EPCI de rattachement, ...

Consulter

Amendement N° 68 rectifié au texte N° 403 - Après l'article 24 (Non soutenu)

Il y a 5 ans, les pouvoirs publics ont pris des mesures pour d'une part encourager l'usage du bois énergie, et d'autre part enrayer la quasi généralisation d'un marché non déclaré. Le bois énergie recouvre la valorisation du bois en tant que combustible sous toutes ses formes, bûche, sciure, plaquettes, granulés ou bûches de bois densifiées…La loi d'orientation du 5 janvier 2006 a permis d'appliquer le taux réduit de TVA à 5,5% à l'ensemble du bois de chauffage, qu'il soit à usage domestique ou non domestique, destiné aux collectivités, aux industriels ou aux particuliers.La transition énergétique qui passe par la diversification des sources  va bientôt faire l'objet ...

Consulter

Amendement N° 67 au texte N° 403 - Après l'article 16 (Non soutenu)

La pauvreté en France concerne 8,6 millions de personnes, soit 14,1 % de la population et en particulier les enfants (source Insee). Cette situation amène beaucoup d'entre eux à restreindre leur consommation alimentaire.Le calendrier se précipite car les dons de lait sont menacés dès aujourd'hui. La récente décision du gouvernement de supprimer la pénalité (taxe fiscale affectée) dans le cadre des dépassements de quotas laitiers risque en effet de remettre en cause ces dons.Le soutien communautaire ne cesse de diminuer. La proposition de règlement relatif au fonds européen d'aide aux plus démunis de la Commission européenne (24 octobre 2012) confirme que l'enveloppe ...

Consulter

Amendement N° 660C au texte N° 235 - Après l'article 59 (Retiré)

Le III bis de l'article 1638 quater prévoit qu'en cas de rattachement d'une commune à un EPCI à fiscalité propre, par délibérations concordantes de l'organe délibérant de l'établissement public de coopération intercommunale et du conseil municipal de la commune concernée, les taux de taxe d'habitation, de taxe foncière sur les propriétés bâties et de taxes foncières sur les propriétés non bâties votés par l'organe délibérant de l'établissement public de coopération intercommunale peuvent être appliqués de manière progressive par fractions égales sur une période maximale de douze années.Mais cette application progressive porte sur la totalité du taux de ...

Consulter

Amendement N° 661C au texte N° 235 - Après l'article 59 (Retiré)

Le III bis de l'article 1638 quater prévoit qu'en cas de rattachement d'une commune à un EPCI à fiscalité propre, par délibérations concordantes de l'organe délibérant de l'établissement public de coopération intercommunale et du conseil municipal de la commune concernée, les taux de taxe d'habitation, de taxe foncière sur les propriétés bâties et de taxes foncières sur les propriétés non bâties votés par l'organe délibérant de l'établissement public de coopération intercommunale peuvent être appliqués de manière progressive par fractions égales sur une période maximale de douze années.Mais cette application progressive porte sur la totalité du taux de ...

Consulter

Amendement N° 665C au texte N° 235 - Après l'article 57 (Irrecevable)

Amendement irrecevable au titre de l'article 40 de la constitution. M. Taugourdeau, M. Olivier Marleix, M. Sturni, M. Marc, M. Voisin, M. Scellier, M. Le Ray, M. Le Fur, Mme Françoise Dubois, M. Decool, Mme Le Callennec, Mme Louwagie, M. Leboeuf, M. Straumann, M. Solère, Mme Schmid, M. Moudenc, Mme Fort, M. Daubresse, M. Goujon, M. Le Mèner, M. Cinieri, M. Foulon, M. Hetzel, M. Siré, M. Abad, M. Bonnot, M. Favennec, M. Jean-Pierre Vigier, Mme Duby-Muller, M. Breton, M. Poisson, M. Chevrollier, M. Perrut, M. Tetart, M. Furst, M. Reitzer, Mme Pons, Mme Lacroute

Consulter

Amendement N° 659C au texte N° 235 - Après l'article 57 (Irrecevable)

Amendement irrecevable au titre de l'article 40 de la constitution. M. Taugourdeau, M. Abad, M. Olivier Marleix, M. Sturni, M. Marc, M. Voisin, M. Solère, Mme Schmid, M. Scellier, M. Le Ray, M. Le Fur, Mme Françoise Dubois, M. Decool, Mme Le Callennec, Mme Louwagie, M. Leboeuf, M. Straumann, M. Moudenc, Mme Fort, M. Daubresse, M. Goujon, M. Le Mèner, M. Cinieri, M. Poisson, M. Foulon, M. Hetzel, M. Siré, M. Chevrollier, M. Bonnot, M. Favennec, M. Jean-Pierre Vigier, Mme Duby-Muller, M. Breton, M. Perrut, Mme Lacroute, Mme Pons, M. Furst

Consulter

Amendement N° 664C au texte N° 235 - Après l'article 57 (Irrecevable)

Amendement irrecevable au titre de l'article 40 de la constitution. M. Taugourdeau, M. Olivier Marleix, M. Sturni, M. Marc, M. Voisin, M. Scellier, M. Le Ray, M. Le Fur, Mme Françoise Dubois, M. Decool, Mme Le Callennec, Mme Louwagie, M. Leboeuf, M. Straumann, M. Solère, Mme Schmid, M. Moudenc, Mme Fort, M. Daubresse, M. Goujon, M. Le Mèner, M. Cinieri, M. Foulon, M. Hetzel, M. Siré, M. Abad, M. Bonnot, M. Favennec, M. Jean-Pierre Vigier, Mme Duby-Muller, M. Breton, M. Poisson, M. Chevrollier, M. Perrut, M. Tetart, M. Furst, M. Reitzer, Mme Pons, Mme Lacroute

Consulter

Amendement N° 315 rectifié au texte N° 287 - Après l'article 11 (Rejeté)

Cet amendement reprend une des préconisations du plan national vélo présenté lors des 1ères rencontres nationales du vélo le 26 janvier 2012 : la création d'une indemnité kilométrique pouvant être versée par l'employeur pour inciter ses salariés à se déplacer à vélo, sur le modèle de ce qui existe en Belgique depuis 1999 où elle est fixée à 20 centimes d'euros par kilomètre. Une telle indemnité serait bien sûr facultative. On renvoie à un décret le soin de fixer le montant de cette indemnité, dont le plan national recommande qu'elle soit de 20 centimes d'euros par kilomètre, comme en Belgique.Pour inciter les entreprises à mettre en place cette indemnité ...

Consulter

Amendement N° 317 au texte N° 287 - Après l'article 11 (Rejeté)

Cet amendement vise, conformément aux préconisations du Plan national vélo, à clarifier, en remplaçant le mot « ou » par le mot « et », la possibilité offerte par l'article L. 3261-2 du Code du travail au salarié, de cumuler prise en charge d'un abonnement de transports en communs et d'un abonnement à un système public de location de vélos dans le cadre de la participation de l'employeur à ses frais de déplacement domicile-travail.Cette clarification permettra ainsi à de nombreux employeurs qui hésitent encore à offrir cette prise en charge à leurs salariés de le faire, d'autant que le montant des sommes en jeu (une trentaine d'euros par an, soit moins de 3 € de ...

Consulter

Amendement N° 1 au texte N° 913 - Après l'article 30 (Retiré)

L'objectif de la politique pétrolière de la France est de garantir la sécurité des approvisionnements énergétiques du pays. Cette politique repose sur plusieurs axes : le maintien d'un raffinage compétitif, la garantie d'un approvisionnement en produits stratégiques, le développement de l'activité internationale des compagnies françaises, la constitution de stocks de produits stratégiques, l'existence d'une flotte de transport de produits énergétiques.A cet effet, la partie législative du code de l'énergie met en œuvre les objectifs de sécurisation des approvisionnements stratégiques en produits énergétiques et de défense économique de l'industrie. Notamment, elle ...

Consulter

Amendement N° 488 au texte N° 2353 - Article 1er (Non soutenu)

Cet article vise à créer une part supplémentaire du produit de la taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques afin de compenser aux Régions, selon les modalités définies en loi de finances pour 2014, le versement des primes aux employeurs d'apprentis. Budgétisé à hauteur de 430M€ en loi de finances pour 2014, cette fraction vise à relever la compensation de 32M€ étant donné que le droit à compensation s'élève à 462M€.Pour autant, la compensation globale des primes aux employeurs d'apprentis définie en loi de finances pour 2014 a trois composantes :- une fraction de TICPE, sensée retraduire la modulation du crédit d'impôt apprentissage,- des ...

Consulter

Amendement N° 2189 au texte N° 2673 - Article 38 (Adopté)

Cet amendement vise à consacrer, dans les zones concernées, un volet spécifique du schéma régional de santé, aux actions de prévention des maladies vectorielles à tiques. L'échelon territorial s'avère le plus pertinent pour mettre en œuvre des actions rapides et concrètes pour mieux prévenir les maladies vectorielles à tiques.Avec le réchauffement climatique, les maladies vectorielles ont connu une nette progression en Europe et notamment en France. Dans son dernier rapport relatif à la borréliose de Lyme, le Haut Conseil de la Santé Publique rappelle que les tiques du genre Ixodes transmettent plusieurs agents pathogènes. Les agents pathogènes véhiculés par les tiques ...

Consulter

Amendement N° 1701 au texte N° 2673 - Après l'article 18 (Non soutenu)

Cet amendement vise à simplifier les dossiers de demande d'aide pour une complémentaire santé (ACS) pour ce qui concerne les pièces justificatives à joindre au dossier.On déplore que le taux recours à l'ACS se réduise à environ 35 % en 2012 selon les derniers chiffres de la population cible de l'ACS mis à disposition par la DREES. Pour expliquer la faiblesse de mobilisation de ce dispositif, ce rapport invoque la méconnaissance du dispositif et l'absence d'une information suffisamment accessible, compréhensible et personnalisée. Mais c'est aussi et surtout la complexité des démarches administratives qui génèrent des entraves insurmontables à une population âgée et ...

Consulter

Amendement N° 173 au texte N° 850 - Après l'article 4 (Retiré)

Dans sa décision QPC 2012‑226 du 6 avril 2012, le Conseil constitutionnel a déclaré contraires à la Constitution les articles L. 15‑1 et L. 15‑2 du code de l'expropriation pour cause d'utilité publique. Le Conseil a toutefois reporté la date de l'abrogation de ces textes au 1er juillet 2013, « afin de permettre au législateur de mettre fin à cette inconstitutionnalité ».Le Conseil constitutionnel reprochant au législateur de ne pas avoir déterminé les circonstances dans lesquelles l'expropriant pouvait prendre possession des biens expropriés, malgré appel du jugement fixant les indemnités, cet amendement a pour objet, d'une part, de réaffirmer le principe selon ...

Consulter

Amendement N° 174 au texte N° 850 - Après l'article 5 (Retiré)

Les véhicules électriques ou hybrides ont deux fois plus de chances d'être impliqués dans des accidents en milieu urbain en raison de leur silence total de fonctionnement, les rendant indétectables pour les usagers en général. De fait, tous les piétons sont en danger mais les personnes aveugles et malvoyantes sont encore plus vulnérables car non seulement elles ne voient pas ces véhicules mais ne les entendent pas arriver. La mise en place d'un avertisseur sonore par les constructeurs automobiles devrait donc être obligatoire sans attendre qu'un texte européen, actuellement en cours de discussion, ne l'impose.Il n'est plus temps d'attendre : à titre d'exemple, les véhicules ...

Consulter